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Photo du rédacteurBenoît Saint Girons

L’eau hydrogénée et les meilleures eaux thérapeutiques

Dernière mise à jour : il y a 6 jours

Les eaux ionisées alcalines de type eau Kangen se font passer – via leur agressive vente en réseau – pour les meilleures eaux thérapeutiques. Mais qu’en est-il réellement face, par exemple, à l’eau hydrogénée ou l'eau Violet ? Quelles sont les véritables eaux thérapeutiques et comment en profiter sans risques ? Conseils de bon sens pour éviter les arnaques et solutions écologiques avec l'auteur du livre La Qualité de l'eau.

La vitalité retrouvée avec l'eau hydrogénée ou l'eau Violet aux oligo-éléments. Idrogen ou Oli-dyn ? Découvrez les meilleures eaux thérapeutiques avec Benoît Saint Girons, auteur du livre La qualité de l'eau et Consultant en solutions écologiques.
Idrogen pour l'eau hydrogénée antioxydante ou Oli-dyn pour les oligo-éléments à l'état naissant ?

Pour vous repérer facilement dans l'article :


Les eaux thérapeutiques en 3 minutes :


Les eaux ionisées très alcalines made in Japan de type Kangen conservent une bonne visibilité grâce à leur vente en réseau. Elles ont néanmoins de plus en plus de mal à s’imposer face à des alternatives nettement moins coûteuses, toutes aussi efficaces et qui plus est sans risque. Leur principal concurrent est ainsi l’eau hydrogénée, également très anti-oxydante mais sans modification du pH de l’eau… ce qui fait toute la différence !


Officiellement et selon les normes en vigueur, une eau est désignée comme "thérapeutique" ou "médicinale" lorsqu’elle possède des propriétés reconnues et documentées, liées – on ne peut faire plus concret – à sa composition spécifique en sels minéraux et en oligo-éléments. En France, une telle eau minérale se présente alors sous l’égide de l’Académie Nationale de Médecine, pour un avantage marketing certain… et un impact sanitaire désastreux ! Nous sommes en effet hétérotrophes et incapables d’assimiler correctement les minéraux inorganiques des eaux.


De fait, l’OMS ne considère pas ce type d’eau comme une eau de consommation courante mais comme un aliment… ce qui n’est pas du tout la même chose et entraîne des problèmes d’élimination des minéraux en excès : « Buvez éliminez ! »


Qu’est-ce donc qu’une véritable eau thérapeutique ? S’il convient de se méfier des promesses et du marketing et de veiller en priorité à la qualité de son eau de consommation courante – donc à son hydratation –, au moins quatre approches mériteraient un peu plus d’intérêt officiel :


- Les eaux « miraculeuses », « mariales » ou « vives » référencées de par le monde sont transductrices, c’est-à-dire qu’elles peuvent transmettre leurs caractéristiques vibratoires à d’autres eaux. Citons par exemple l'eau de Lourdes ou l'eau Diamant.


- L’eau Marcel Violet, vendue notamment sous la marque Oli-dyn "L'original - 1984 - J.Pagot" dans une version d’oligothérapie avec valisette remplie d’une vingtaine d’oligo-éléments. Non seulement l’eau est dynamisée mais elle se retrouve chargée d’oligo-éléments à l’état naissant, directement assimilables par l’organisme. On retrouve également le procédé dans le réservoir de certains osmoseurs.


- L’eau Kaqun est une eau chargée en oxygène biodisponible – afin de permettre une oxygénation cellulaire – selon un procédé aussi innovant que secret. Nettement moins innovant, par contre, le conditionnement dans des bouteilles en plastique, un taux en minéraux de 181 mg, un pH alcalin… et un tarif de 4 euros la bouteille.


- Tout aussi intéressante mais sans bouteille plastique et plus économique car disponible chez soi via le petit appareil Idrogen made in Corée du Sud, l’eau hydrogénée, enrichie en hydrogène moléculaire actif H2, ne modifie pas le pH de l’eau et se retrouve du fait de ses propriétés très anti-oxydantes sur le trapèze vital des aliments haute vitalité! Plus d’un millier d’études en démontreraient les bénéfices pour lutter contre les radicaux libres les plus nocifs, les inflammations, l’acidose, le diabète, les allergies ou encore les dermatites. Le dihydrogène moléculaire (H2) se diffuse avec un effet tropisme dans tout le corps à grande vitesse et, contrairement à d'autres antioxydants (vitamine E, coenzymes Q10) est capable de pénétrer la membrane cellulaire (constituée de lipides) pour atteindre jusqu'au cœur des cellules. La sensation d'hydratation et d'énergie ressentie est ainsi remarquable.


Ces approches requièrent comme base de travail une eau de qualité faiblement minéralisée (meilleures eaux de source en bouteille ou, préférablement pour limiter le plastique, une eau osmosée). Comme quoi, et n’en déplaise aux Médecins et à l’Académie de Médecine, les eaux véritablement thérapeutiques ne sont pas celles que l’on croit…



Questions-Réponses sur les eaux thérapeutiques ?


Qu’est-ce qu’une eau thérapeutique ?  Est considérée comme thérapeutique une eau qui possède des propriétés spécifiques permettant d’espérer un effet thérapeutique : soit une amélioration de la santé dans son ensemble, soit la disparition d’un trouble. En cas de constipation, par exemple, une eau chargée en magnésium et sulfates a un effet laxatif. Les bicarbonates auraient quant à eux des effets sur la digestion. Ces propriétés "médicales" viennent en général de l’étude des eaux thermales, sur place à la source, et du bien-être évident ressenti par les curistes. Jusqu’aux années 1960, les eaux minérales étaient vendues en pharmacie dans des bouteilles en verre. 


Une eau thérapeutique a-t-elle des effets secondaires ?  Toute eau possédant une forte teneur en minéraux a forcément des effets secondaires sur le moyen ou long terme, raison pour laquelle de telles eaux ne doivent pas être considérées comme eau de consommation courante. Un excès minéral nuit en effet à l’organisme qui doit éliminer les minéraux inorganiques en excès, via notamment un surtravail des reins. Considérés comme des médicaments jusqu’aux années 1960, les eaux minérales devraient continuer à être prescrites sur avis médical… mais encore faudrait-il pour cela que les médecins et les nutritionnistes soient correctement formés à la qualité de l’eau !  Or ce n’est pas le cas, voir par exemple la vidéo d’un célèbre médecin nutritionniste sur les eaux minérales…


Une eau thérapeutique est-elle forcément minérale ?  Selon l’Académie de Médecine et les médecins, oui !  C’est cette composition stable et spécifique qui leur confère l'appellation "eau minérale naturelle" et des vertus thérapeutiques. C’est toutefois oublier qu’il y a loin entre l’eau du griffon et l’eau mise en bouteille. Nous sommes également hétérotrophes c’est-à-dire incapables d’assimiler correctement les minéraux inorganiques des eaux. “Buvez Eliminez”... les minéraux en excès !  Cette définition de l’eau thérapeutique est ainsi à la fois mensongère et trop restrictive. Nous appellerons donc plutôt eau thérapeutique toute eau possédant des caractéristiques différentes de l’eau de source de consommation courante, soit du fait de sa composition (minéraux, oligo-éléments,...) soit du fait de ses caractéristiques énergétiques (énergie magnétique pH ou électrique rH2). 


Quelles sont les eaux thérapeutiques selon cette définition élargie ?  L’eau hydrogénée (enrichie en dihydrogène actif) est le meilleur exemple avec un rH2 très bas, lié à des caractéristiques antioxydantes remarquables. Une telle eau n’existe pas dans la nature. L’eau très alcaline par contre existe puisqu’il s’agit d’eaux stagnantes qui vont développer les bactéries... Une autre catégorie d’eau thérapeutique est l’eau Oli-dyn enrichie en oligo-éléments à l’état naissant. L’eau dynamisée M. Violet ne rentre pas stricto sensu dans cette catégorie puisqu’il s’agit avant tout d’une eau dynamisée. Si l’on y ajoute par contre des électrodes (argent, or, zinc, etc) alors on retombe sur une eau spécifiquement enrichie et donc thérapeutique. Attention à ne pas confondre ceci avec des "compléments alimentaires" constitués d’une base d'eau dans laquelle on ajoute une substance extérieure comme par exemple du Sérum de Quinton ou des vitamines. Les eaux thérapeutiques dont nous parlons se fabriquent facilement chez soi à partir d’une eau propre et faiblement minéralisée.


Une eau  filtrée et/ou dynamisée est-elle thérapeutique ?  En soi, toute eau améliorant l’hydratation pourrait être considérée comme thérapeutique par rapport à la désastreuse eau chlorée du robinet ou aux eaux trop minéralisées en bouteille. Supprimer les polluants et le chlore via la filtration évite déjà que l’on tombe malade à plus ou moins longue échéance. Redonner de l’énergie à l’eau la rend biocompatible et beaucoup plus agréable à boire ce qui permet naturellement de boire davantage. Ces eaux filtrées et dynamisées se rapprochent toutefois simplement de l’eau de source au naturel, qui ne peut être considérée comme eau thérapeutique, sauf à considérer avec Hippocrate que “C’est la nature qui guérit les malades”.


Quels sont les risques liés aux eaux thérapeutiques ?  Le premier risque est de se faire avoir et ce risque est grand ! L’eau Kangen est le premier exemple qui vient à l’esprit, tant le dispositif est coûteux et vendu n’importe comment (via notamment plusieurs démonstrations qui ne prouvent globalement rien dire sinon que l'on essaye de vous induire en erreur). Voir à ce propos les réfutations du Prof. Joseph Országh dans son article rigoureux et exhaustif Sur les eaux hydrogénées et basiques – dites "Kangen" Le risque principal est toutefois de se retrouver avec une eau problématique pour la santé, ce qui est le cas avec tous les procédés bas de gamme (eau soit disant hydrogénée made in China) ou, à nouveau, les eaux ionisées très alcalines qui ne doivent absolument pas être considérées comme des eaux de consommation courante. “L’eau est importante pour ce qu’elle emporte et non ce qu’elle apporte” disent les adeptes de la Bioélectronique de Vincent et ceci signifie que les eaux thérapeutiques, différentes de l’eau biocompatible au naturel, doivent être envisagées avec recul et circonspection. L’eau Oli-dyn se boit à raison d’un verre le matin à jeun, l’eau hydrogénée (via le petit boîtier Idrogen) à raison de 0,5 litre par jour. Ce dernier dispositif ne rapporte aucun effet secondaire mais l’eau présente des caractéristiques antioxydantes très spécifiques qui requièrent de raison garder et de rester à l'écoute de son corps.


Comment ne pas se faire avoir avec les eaux thérapeutiques ? Tout langage ésotérique est mauvais signe mais toute approximation également ! "Nous sommes en acidoses et devons donc boire de l'eau alcaline ?" Erreur grossière qui méconnaît l'effet tampon de l'organisme !  L’intérêt de l’eau Kangen n’est d’ailleurs pas son côté alcalin mais antioxydant… et Idrogen fait la même chose pour une fraction du coût ! Non, l’eau miraculeuse n’existe pas et les promesses médicales n’engagent que ceux qui y croient !  Méfiance extrême avec les ventes en réseau, les personnes qui s’invitent chez vous et les démonstrations-arnaques style électrolyse de l’eau. Les dispositifs qui fonctionnent sont connus et les produits exotiques le plus souvent décevants. L’approche prioritaire, avant toute eau thérapeutique, reste de retrouver le plaisir de boire une eau biocompatible afin d’être correctement hydraté. Les améliorations de santé requièrent avant toute chose du bon sens et une base stable.


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Pour en savoir plus sur les eaux thérapeutiques :


Il n’existe pas trente six milles approches qualitatives concernant l’eau thérapeutique mais les exagérations sont légion et les arnaques ne sont pas loin derrière. Après avoir vu quelques préjugés et ce qui devrait être évité, nous présenterons les deux meilleures solutions thérapeutiques, reconnues et validées par les experts de l’eau.


Primum non nocere et s’hydrater…


La meilleure eau est celle que l’on a plaisir à boire et qui va correctement hydrater l’organisme. Avant de considérer une eau thérapeutique, il conviendrait ainsi de réussir à rendre biocompatible son eau "potable" du robinet… et il y a déjà pour cela un peu de travail !


La première étape est de filtrer son eau afin de lui enlever l’essentiel des polluants dont les plus problématiques – mais dont on ne parle quasiment jamais – à savoir le chlore et les minéraux inorganiques. Si le chlore et ses dérivés peut être supprimé par toute filtration à base de charbon actif, même budget, le seul dispositif capable d’enlever les minéraux sans trop de dégâts énergétiques est l’osmose inverse.


La seconde étape est de lui redonner de l’énergie sous la forme de protons (pH) et d’électrons (rH2) et de lui faire retrouver une structure conforme à l’eau au naturel. Rappelons que l’eau changerait de structure 1000 milliards de fois par seconde et qu’elle est donc sensible au moindre des stimuli.


Le tout permettra d’obtenir une eau plus douce et hydratante, beaucoup plus agréable à boire, ce qui permet d’assurer, sans se forcer, une hydratation de qualité via environ 1,5 litre d’eau plate et tempérée absorbé chaque jour.


Vous n’arrivez pas à boire suffisamment ? Contrairement à la réponse de médecins, c’est simplement que votre eau n’est pas adaptée à votre organisme qui la refuse instinctivement !


Ce n’est qu’une fois la question de l’eau de consommation courante réglée que vous pourrez envisager une eau thérapeutique. Vous pourrez alors supprimer la seconde étape puisque Idrogen et Oli-dyn – les meilleures eaux thérapeutiques à domicile – procurent déjà une énergie substantielle à l’eau.



Les eaux minérales sont-elles thérapeutiques ?


« Quelques consommateurs attribuent à certaines eaux minérales naturelles des propriétés médicinales ou d’autres bénéfices sanitaires. […] Leur utilisation a souvent une longue tradition et elles sont acceptées parce qu’elles sont considérées comme des aliments plutôt que comme des eaux de boisson en tant que telles. », écrit l’OMS dans son rapport de 2017.


Quelques consommateurs, vraiment ? Les meilleurs promoteurs des minéraux des eaux ne seraient-ils pas plutôt l’Académie de Médecine et les médecins en France ? De fait, ces eaux étaient jusque dans les années 60 vendues exclusivement en pharmacie... et dans des bouteilles en verre, ce qui fait toute la différence énergétique !


Depuis, les publicitaires s’en sont donnés à cœur joie sur le thème du « buvez éliminez ». Certains ont pensé qu’il s’agissait d’éliminer les graisses alors qu’il était en réalité question de l’élimination des minéraux inassimilables… via un surtravail des reins !


Certes, les cures thermales font beaucoup de bien, mais, à la source, au griffon, les minéraux sont encore à l’état de colloïdes, bien plus facilement assimilables. L’eau jaillissant de la roche est également normalement chargée en activité protonique et électronique et cette énergie aidera à assimiler encore un peu mieux les minéraux ou à les éliminer plus facilement… sur la durée limitée (à 21 jours) de la cure !


Rien de tout cela en bouteille plastique, où l’énergie disparaît rapidement. La qualité de l’eau devient ainsi inversement proportionnelle à sa teneur en minéraux : moins il y en a (sans toutefois être à zéro), plus l’eau est capable de correctement nettoyer et hydrater. Une telle eau se défend également mieux contre la pollution électromagnétique, la conductivité électrique passant par les minéraux. C’est ce type d’eau qui sera idéalement utilisée pour la production de l’eau thérapeutique via les appareils Idrogen et Oli-dyn, par exemple.


Bref, les eaux très minérales ont évidemment une composition spécifique et stable mais – à l’exception de quelques eaux gazeuses acides car riches en bicarbonates qui pourront ponctuellement aider à la digestion – il ne saurait être question d’eaux thérapeutiques, sauf à faire cyniquement remarquer qu’elles ont à moyen terme des effets secondaires (dont les calculs rénaux !) et pourraient donc être considérées comme de très inefficaces médicaments !




Se méfier du marketing et des affirmations fantaisistes


Exit donc les eaux très minérales sponsorisées par le marketing ! Exit les bouteilles plastiques ! Le marketing ose tout et c’est d’ailleurs à cela qu’on le reconnaît. De fait, plus un produit passe dans les médias et plus il devrait être considéré comme mauvais.


Il existe toutefois un marketing des eaux encore plus insidieux : les manipulations liées à la vente en réseau. Là, il n’est plus possible d’éteindre sa TV puisque c’est une connaissance qui nous fait la promo ! Nous sommes obligés de l’écouter poliment et, au fur et à mesure que le temps passe, les arguments arrivent parfois à convaincre…


Car la démonstration Avant-Après fonctionne toujours à partir du moment où l’on part d’une eau polluée et chlorée comparée à une eau filtrée ! Il est difficile en Oxydant de faire pire que l’eau chlorée et l’on notera donc forcément - avec tout système de filtration et/ou de dynamisation, une eau plus agréable en bouche, plus hydratante.


Les témoignages des usagers - éloquents et élogieux sinon ils n’auraient pas été retenus - ne valent donc pas forcément grand chose : l'eau est plus agréable, et alors ? Est-ce une raison pour investir des milliers d'euros ?


L'eau obtenue est thérapeutique ? En soi, le simple fait de mieux s’hydrater est déjà thérapeutique : correctement hydratées, les cellules fonctionnent forcément mieux ! On vous expliquera alors à quel point cette eau est différente et parfois, en effet, elle l’est ! L’eau Kangen est ainsi, par exemple, très alcaline, avec un pH largement supérieur à 7.


« Nous sommes tous en acidose, n’est-ce pas, victimes du stress, de la malbouffe et des pollutions industrielles ? Eh bien cette eau très alcaline va justement permettre de lutter contre cette acidose délétère ! » Milieu acide et donc eau alcaline pour rétablir les choses. Cela fait sens n’est-ce pas ? Eh bien non ! Cette affirmation simpliste (relayée même parfois par des naturopathes !) méconnaît en effet l’effet tampon de l’organisme ! Si je veux créer un état plus alcalin dans mon estomac, c’est au contraire du jus de citron très acide que je vais boire ! Voir l'article L’eau alcaline est-elle vraiment meilleure pour la santé ?


Le fait de ne pas connaître le fonctionnement de base de l’organisme ne signifie pas que le produit soit forcément mauvais, mais simplement que vous ne pouvez pas faire confiance à la personne qui vous le propose : elle a de toute évidence été formée aux manipulations marketing plutôt qu’aux subtilités de l’eau et de la santé.


C’est malheureusement le cas pour la majorité des vendeurs d'une unique solution eau, économiquement formés à croire que leur produit est le meilleur ! La vente en réseau ajoute toutefois à la manipulation : à partir du moment où j'ai acheté un appareil plusieurs milliers d'euros, j’ai psychologiquement tendance à essayer de me persuader qu'il fonctionne ! Et puis, si je réussis à convaincre mes connaissances, eh bien je récupérerais une partie de mon investissement...


Il est en outre tout à fait possible d’apprécier cette eau. Au regard de ses propriétés énergétiques très spécifiques, des effets sur la santé peuvent même être constatés. Mais n’aurais-je pas pu obtenir les mêmes résultats avec un appareil nettement moins onéreux ?


Quant aux témoignages de guérison, il conviendrait à nouveau de disposer d’un peu plus d’éléments et de recul. Arrêter de boire de l’eau chlorée est déjà une très bonne chose. Mieux s’hydrater en est une autre. Ajoutons-y l’effet placebo – plus l’appareil est coûteux et plus cela sera efficace ? – qui intervient toujours dans 30% des cas. Au final, difficile de faire la part des choses et une méfiance naturelle à développer vis-à-vis de dispositifs parés de toutes les vertus thérapeutiques... vendus par n'importe qui !



Pourquoi pas les eaux ionisées alcalines ?


Les eaux ionisées très alcalines de type Kangen sont donc ionisées afin de devenir anti-oxydantes et alcalines, deux paramètres qui les éloignent des eaux de consommation courante (les eaux chlorées du robinet sont oxydées et alcalines tandis que les meilleures eaux sont anti-oxydantes et légèrement acides) et leur permettent de se présenter comme thérapeutiques.


​Ces "Eaux ionisées alcalines réductrices synthétiques" (EIAR) sont ainsi ponctuellement intéressantes pour des pathologies spécifiques. On retrouve de fait l’eau Kangen dans certains hôpitaux au Japon et c’est d'ailleurs l’un de leurs principaux arguments : « Tous les hôpitaux au Japon sont équipés ! » Au-delà de l'évidente exagération, on retrouve aussi des bonbonnes à oxygène dans les hôpitaux mais ce n’est pas une raison pour les vendre à des particuliers sans aucune précaution...


Les revendeurs de telles fontaines sont-ils médecins ou thérapeutes ? Rarement et au regard des risques à moyen terme, cela signifie qu'ils jouent plus ou moins aux apprentis sorciers. Ils auront beau jeu de prétexter que tout le monde est de nos jours plus ou moins malade (du fait d'une eau inappropriée ?), personne n'a encore inventé le médicament universel et ce qui est ponctuellement bon pour l'un sera mauvais pour un autre et toujours problématique au bout d’un moment.


Le profil énergétique de ces eaux les place en effet, selon la Bioélectronique de Vincent (BEV) – la référence de quasiment tous les experts de l’eau – sur le terrain des bactéries. Un pH largement supérieur à 7 et une eau réductrice correspondent en effet au terrain N°4, "le milieu favorable aux maladies infectieuses à microbes pathogènes, à la putréfaction, au salé et aux algues brunes." selon Richard Haas.


​Bref, des eaux ponctuellement bénéfiques (du fait de leur côté antioxydant et non de leur alcalinité) mais risquées à moyen terme (car très alcalines) et donc impropres à la consommation courante. A plusieurs milliers d’euros l’appareil, on aura tendance à l’utiliser au quotidien alors qu’on ferait mieux de le louer, pour des périodes de cures de 21 jours maximum !



L’eau hydrogénée : les bénéfices sans les risques


Investir dans l’eau ionisée alcaline a aujourd’hui d’autant moins d’intérêt que des appareils permettent d’obtenir une eau très anti-oxydante sans toucher au pH.


A partir d’une base d’eau propre et faiblement minéralisée (à tendance neutre ou légèrement acide), on se retrouvera alors sur le terrain antioxydant des meilleurs aliments haute vitalité : produits lacto-fermentés, fruits et légumes bio, graines germées, algues, etc.

L'eau hydrogénée se distingue en effet par un potentiel redox (E) ou "potentiel d'oxydo-réduction" (ORP) très bas, de -200mV à -640mV selon les appareils ce qui en fait l'un des produits réducteur antioxydant le plus puissant au monde.


Traduit en redox, hydrogène relatif ou potentiel électronique rH2 selon la formule rH2 = 33,8 x ORP (en volt) + 2pH (pour une eau à 25°C) on obtient des valeurs inférieures à 10 ce qui correspond aux valeurs des meilleurs aliments de la santé, sur le "trapèze vital" du bioélectronigramme de la Bioélectronique de Vincent.




Le dihydrogène moléculaire est polyvalent mais sélectif: il ne touche pas aux dérivés réactifs de l'oxygène (DRO) inoffensifs mais élimine les DRO toxiques à savoir les radicaux hydroxyles en se transformant immédiatement en eau à leur contact (phénomène que l'on appelle "réduction"). Il n'y a ainsi aucun risque ou danger.


Le dihydrogène moléculaire se diffuse en outre avec un effet tropisme dans tout le corps à grande vitesse et, contrairement à d'autres antioxydants (vitamine E, coenzymes Q10) est capable de pénétrer la membrane cellulaire (constituée de lipides) pour atteindre jusqu'au cœur des cellules. La sensation d'hydratation et d'énergie ressentie est ainsi remarquable !

Cette eau très spécifique n'a évidemment pas vocation à remplacer l'eau de consommation courante (correctement filtrée et dynamisée) mais à s'y jouter en tant qu'eau thérapeutique. Aucun effet secondaire n'a toutefois été documenté, même à des doses plus importantes.



Le petit boîtier Idrogen : la référence qualité-prix !


De très nombreux appareils à hydrogène se disputent désormais le marché mais il convient de se méfier de 2 types d’appareils :

  • Le bas de gamme made in China avec électrodes (attention alors à la corrosion) qui ne donne jamais la garantie d’obtenir une production suffisante de dihydrogène actif... et surtout mélange tout, l'eau hydrogénée produite à la cathode avec l'ozone (O3) acide produite à l'anode.

  • Les coûteux et encombrants appareils de première ou seconde génération avec électrodes (parfois encore en platine) qui nécessitent une eau chargée en minéraux afin de faire passer le courant électrique… et mélangent également tout.


Le petit appareil Idrogen que nous recommandons – le seul de fait à avoir fait l’objet de tests scientifiques sérieux – est différent. A l’électrolyse classique s’ajoute une membrane spécifique en vue de produire séparément une eau neutre enrichie en ozone à l’anode (récupérée dans le bas de l’appareil et utile pour les soins dermatologiques car antibactérienne) et une eau neutre enrichie en dihydrogène à la cathode, que l’on boira avec grand plaisir.





Ses avantages sont les suivants :

  • Appareil de 3ème génération avec membrane et non seules électrodes.

  • Séparation de l'eau hydrogénée produite à la cathode et de l'ozone produite à l'anode.

  • Efficacité testée scientifiquement, notamment par le Prof. Marc Henry

  • Un pH respecté, au contraire des eaux ionisées de type Kangen

  • Jusqu'à 1200 PPB (partie par billion) de dihydrogène moléculaire dissous.

  • Production en 5 minutes seulement (2x 5 minutes toutefois recommandées)

  • Eau beaucoup plus agréable et très douce, qui semble couler toute seule.

  • Effet tropisme et hydratation jusqu'au cœur des cellules.

  • Sensations de dispersion et d’hydratation remarquables.

  • Adaptable à toutes les bouteilles du marché mais recommandé avec la bouteille en verre violet Biophotonique 0.5L.

  • Compact (7.2 x 10,3 cm), léger (300 grammes) et facilement transportable

  • Batterie lithium rechargeable

  • Le meilleur rapport qualité-prix du marché à moins de 500 euros contre plus de 1000 euros pour les précédents appareils à hydrogène (à efficacité comparable) et jusqu’à 3000 euros pour certains appareils Kangen.

Idrogen requiert idéalement une eau propre et faiblement minéralisée, ce qui nécessite - toujours idéalement - de s’équiper d’un osmoseur. Utiliser une eau polluée, chlorée et chargée en minéraux (avec un pH du coup alcalin) serait en effet contradictoire avec l’idée que l’on se fait d’une eau thérapeutique. Cela constitue toutefois le travers de bon nombre d’appareils… pour des résultats alors évidemment moindres voire problématiques.


L'eau hydrogénée n'a pas vocation à remplacer l'eau de consommation courante (correctement filtrée et dynamisée) mais à s'y rajouter. Il est conseillé d'en boire 0,5 litre par jour, voire plus si l’on est sportif afin de mieux récupérer. On la boira rapidement après production, sans la stocker, le dihydrogène étant volatile.


En conclusion, laissons la parole au Professeur Marc Henry : « Il existe des arguments scientifiques sérieux permettant de préférer la technologie IDROGEN qui permet d’électrolyser n’importe quel type d’eau à d’autres technologies incapables de fonctionner avec des eaux de très haute résistivité électrique. » Idrogen est en effet le seul appareil dont l'efficacité a été démontrée scientifiquement. Attention donc aux contrefaçons !


Plus de détails sur le site moderne solutionsbio.ch ou la page produit du portail eaunaturelle.ch. Voir également la fiche technologie pdf.



Les eaux dynamisées sont-elles thérapeutiques ?


Idrogen procure une eau très douce, ce qui est la caractéristique en bouche des eaux correctement dynamisées. Est-ce à dire que la dynamisation de l’eau pourrait être également considérée comme thérapeutique ?


Normalement non car une eau thérapeutique se caractérise par des propriétés particulières :

  • Composition spécifique avec dihydrogène (Idrogen), oxygène (Kaqun) ou oligo-éléments (Oli-dyn) par exemple.

  • Paramètres énergétiques différents d’une eau de consommation courante : eau très antioxydante (Kangen, Idrogen) ou très alcaline (eaux ionisées).


Nous partons toutefois généralement d’une eau potable du robinet aux caractéristiques énergétiques désastreuses : pH alcalin afin de protéger la tuyauterie et oxydation du fait du chlore et autres polluants. Voir les articles Quelle est la vraie qualité de l’eau du robinet ? et Quel système de filtration choisir pour purifier l'eau de mon robinet ?


Tout système améliorant cette triste situation aura donc de facto un effet thérapeutique sous la forme d’une eau plus pure et agréable à boire :

  • Les osmoseurs sans reminéralisation derrière arrivent à modifier le pH de l’eau de 0,5 à 1 point vers la neutralité (pH 7) ou une légère acidité (pH < 7), signe d’une bonne activité magnétique.

  • Les meilleurs dispositifs de dynamisation arrivent à améliorer le taux d’oxydo-réduction ou rH2 vers une eau moins oxydante. Le Biodynamizer – la référence en la matière pour une maison – permet ainsi d’obtenir une eau 4 millions de fois moins oxydante… mais qui pourrait rester légèrement oxydante selon la qualité de l’eau du robinet de départ.


La dynamisation procure également une énergie subtile, perceptible en bouche mais pas forcément par les électrodes des mesures de la Bioélectronique. Des tests biologiques révèlent alors clairement l’Avant - Après mais attention car tous les systèmes ne sont pas aussi puissants et tous ne se valent donc pas. Voir mon article Pourquoi et comment dynamiser l’eau ?


L’idéal est évidemment de combiner les deux approches – filtration et dynamisation – afin d’obtenir la meilleure eau possible, véritablement biocompatible.


Cette eau biocompatible est l’eau de consommation courante idéale… mais elle ne conviendra pas toujours pour la production de l’eau thérapeutique, qui requiert une eau de départ faiblement minéralisée (Idrogen, Oli-dyn,…)


Bref, si filtrer et dynamiser amélioreront bien les paramètres et permettent de mieux boire et donc de s’hydrater, l’eau thérapeutique devrait être considérée à part, ne serait-ce que parce qu’elle requiert une posologie différente.



Oli-dyn et les oligo-éléments à l’état naissant

La valisette Oli-dyn est un cas de figure intéressant car nous avons là un dispositif polyvalent, à la fois dynamiseur et producteur d’eau thérapeutique. Amélioration du dynamiseur Violet, appareil agréé en son temps par l'Académie de Médecine, Oli-dyn produit de l'eau thérapeutique chargée en oligo-éléments !


Au regard des expériences de Stanislas Bignand puis de Marcel Violet – notamment en hôpital –, le procédé de bio-oscillation pour une eau « électro-vibrée » mérite certainement toute notre attention. « Cette ancienne invention de Marcel Violet est probablement, pour ne pas dire certainement, celle qui a le plus d’effet positif et d’avenir devant elle », avance Richard Haas dans son livre Comment purifier et revitaliser votre eau de table, après avoir mis en garde contre toutes les versions plus ou moins conformes à l’original disponibles sur le marché.


On retrouve le condensateur à cire d’abeille et l’électrode en argent dans des fontaines d’osmose inverse (Iona, Déli Pure, Mascardi, Osmotic, fontaines pour entreprises), ou sans cire d’abeille dans le procédé Oli-dyn de Jean Pagot, ancien collaborateur de Marcel Violet. Ce procédé est proposé dans une valisette avec une vingtaine d’oligo-éléments pour une approche innovante de l’oligothérapie, l’eau dynamisée captant l’énergie vibratoire des différentes électrodes.


Le dynamiseur OLI-DYN, produit dans l'eau:

  • des ondes biologiques sur un très large spectre de fréquences

  • des ions négatifs

  • des oligo-éléments colloïdaux à l'état naissant, directement assimilables par l’organisme.


Outre l'électrode neutre de carbone utilisée pour la dynamisation, 18 autres électrodes servent à la production des oligo-éléments: aluminium, antimoine, argent, cobalt, chrome, cuivre, étain, fer, germanium, magnésium, manganèse, nickel, or, plomb, sélénium, silicium, titane et zinc. 3 autres oligo-éléments sont disponibles en option: le Molybdène, le Vanadium et le très rare et superbe Indium, aux propriétés très intéressantes.


L'influence bénéfique des oligo-éléments est bien connue et documentée. Ces minéraux - présents en quantité infinitésimale: 7 grammes pour un individu de 70 kg – sont indispensables au développement harmonieux de la vie et sont les garants d'une santé équilibrée, pour autant que la juste proportion soit respectée. Or, suite au développement anarchique de l'industrie, aux différentes pollutions et à la malbouffe, certains éléments se retrouvent en surplus quand d'autres sont en carence.


Des études récentes ont en outre démontré qu'une simple dilution chimique ne suffisait pas à faire de ces métaux ou substances minérales de vrais oligo-éléments. Il faut quelque chose de plus et ceci est le privilège exclusif de la technique OLI-DYN.


Par son énergie à haute fréquence, le procédé OLI-DYN arrache littéralement au métal la matière qui lui est spécifique, la transforme en ions négatifs puis en charge l'eau bénéficiaire. Ces oligo-éléments sont ainsi directement et efficacement assimilables par les cellules et sont immédiatement disponibles au niveau des cellules du cerveau, du plasma sanguin et des organes.


Leur action est ainsi double. D'une part, les carences en oligo-éléments sont comblées. D'autre part, Goudot et Picard, dans leur ouvrage Utilisation thérapeutique des oligo-éléments (Ed. Maloine), ont montré qu'un minéral dynamisé en excès provoque un phénomène apparenté à la cristallisation, évacuant de l'organisme la substance en excédent. La dynamisation agit ainsi comme régulateur.


Il est très important de retenir que les oligo-éléments (tout comme les minéraux des eaux) ne sont intéressants pour l’organisme qu’à l’état naissant et vibratoire, sous forme énergétique, et non dans leur état chimique brut. Préserver ou redonner de l’énergie à l’eau est ainsi indispensable si l’on souhaite s’assurer de la stabilité thérapeutique d’une solution : eau minérale médicinale, remède homéopathique, fleurs de Bach, élixir floraux, sérum de Quinton… Leur « indice vitalité » serait ainsi plus important que leurs principes actifs théoriques.


Globalement, le procédé requiert une eau faiblement minéralisée et au moins une vingtaine de minutes de patience, ce qui n’en fait pas le procédé de dynamisation le plus simple ou rapide à mettre en œuvre, mais quelle importance: l’énergie se capte et se condense mais elle ne se presse pas ! Chargée en oligo-éléments actifs, la posologie est de un verre par jour, le matin à jeun.



Pour conclure, qu’est-ce qu'une eau thérapeutique ?


En vertu des directives de l’UE sur les allégations de santé, il n’est pas possible de parler officiellement d’eau thérapeutique. Mais comment qualifier alors une eau présentant des principes actifs ou des paramètres spécifiques très différents des eaux de consommation courante ? D’eau "différente", "spécifique", de "mieux-être", de "vitalité", "complément alimentaire" ?


Si par thérapeutique on entend « qui soigne mais induit des effets secondaires » comme dans le cas des médicaments allopathiques, alors il est clair que les eaux hydrogénées ou les eaux Violet n’ont rien de thérapeutique. Au contraire, elles renforceraient plutôt le système immunitaire


On ne devrait normalement pas recourir à de telles eaux pour étancher sa soif. A titre personnel, je ne boirais toutefois pas suffisamment d'eau de Genève si je ne disposais que de mon osmoseur. Celui-ci produit une eau propre et biocompatible mais je la trouve un peu "artificielle". Cette eau ne me donne pas particulièrement envie de boire, contrairement à l'eau obtenu par Biodynamizer qui me rapproche de la référence de l'eau de source de montagne. Le petit appareil Idrogen me rajoute à l'appartement 0,5L par jour... et avec grand plaisir car elle glisse toute seule !


En théorie, on ne devrait pas non plus recourir à de telles eaux lorsque l’on est vraiment malade : c'est alors la responsabilité du médecin de famille que de vite traiter les symptômes ! En pratique, recourir régulièrement à ces eaux devrait surtout permettre d’éviter de tomber trop souvent malade... ou de plus rapidement se sentir mieux. Outre l’intérêt des oligo-éléments pour des pathologies spécifiques (Oli-dyn) ou du dihydrogène actif pour lutter contre les radicaux libres (Idrogen), toute prise d’une eau de qualité ne peut être que bénéfique… ne serait-ce que via une meilleure hydratation !


Bref, le plus important reste d’assurer et de garantir son hydratation de qualité. C’est elle qui garantit en effet le bon fonctionnement des cellules d’un organisme constitué à environ 97% mol % de molécules d’eau. Dans un deuxième temps, il pourrait toutefois être pertinent d’aller « eau-delà » afin de mettre toutes les chances de son côté et de renforcer son système immunitaire, face à un monde extérieur de plus en plus anxiogène, de moins en moins limpide…



Pour en savoir encore plus sur les meilleures eaux thérapeutiques

Article de base pour éviter les arnaques de l'eau 

Vidéo Conférence-Tutoriel : Les solutions concrètes (19’53) Le portail sur l’eau : https://www.lemieuxetre.ch/eau

Les fiches technologies pdf : Idrogen, Oli-dyn

Mon livre La qualité de l’eau (Ed. Médicis, 2020)

Me contacter pour une analyse gratuite et experte de votre situation : +41 (0)76 532 8838 (rappel possible), sms ou mail



3 Comments


Guest
May 22, 2023

Au final il manque une eau, l'eau de Quinton qui au final est une vraie oligothérapie. Petite précision sur l'eau Violet; elle doit être faite avec une machine disposant d'un condensateur à cire d'abeille (c'est ce que disait Marcel Violet).

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L'eau de Quinton est un complément alimentaire. J'en ai parlé dans le livre mais ce n'est pas ici le sujet.

Jean Pagot a amélioré le dispositif de Violet avec un condensateur plus stable dans le temps sans cire d'abeille : Oli-dyn. https://www.solutionsbio.ch/solutions-eaux-therapeutiques

Les osmoseurs qui intègrent la dynamisation violet ont un condensateur à cire d'abeille et semblent bien tenir la distance...

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Guest
Feb 11, 2022

Très intéressant comme article!

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