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Comment se protéger des ondes électromagnétiques et de la 5G ?

Dernière mise à jour : 13 juin 2022

Et si les normes des ondes artificielles pulsées étaient inadaptées voire dangereuses ? Et si les problèmes de sommeil ou de stress étaient dus (en partie) au smog électromagnétique ? Et s’il était important d’éviter toute dose d’ondes supplémentaires (Linky, 5G,…) afin de ne pas devenir électro-sensible ? Infos pratiques et solutions d’écologie personnelle afin de limiter les effets biologiques des ondes !

Pour vous repérer facilement dans l'article :


Se protéger des ondes électromagnétiques en 3 minutes chrono !


Officiellement, tout va bien puisque le gouvernement et les scientifiques nous le disent. Non seulement les ondes sont sans danger mais les normes sont respectées et on peut donc se permettre d’en rajouter via les compteurs dits "intelligents" Linky ou la formidable 5G qui va tant révolutionner notre quotidien sans fil !


D’un autre côté, les ondes des téléphones portables ont été classées « peut-être cancérigènes » par l’OMS en mai 2011, plus de 20 000 études indépendantes démontreraient la nocivité des ondes électromagnétiques artificielles et les normes – mesurées sur des mannequins en plastique – sont totalement à côté de la plaque (à induction) car ne prenant pas en compte les effets biologiques mais le seul réchauffement des tissus !


Qui croire ? En matière de santé, il est toujours bon de s’interroger sur les conflits d’intérêts et le sens du business… et, en matière de danger, d’interroger les assureurs. Or il se trouve que ceux-ci n’ont jamais accepté de couvrir les risques liées aux ondes artificielles pulsées (à la différence des ondes naturelles continues)…


"Nous sommes les cobayes de la plus vaste et la plus néfaste des expérimentations" (Neurochirurgien suédois Leif Salford, spécialiste des tumeurs cérébrales)

Notre exposition aux champs électromagnétiques a en effet augmenté de plus d'un milliard de fois depuis 1950. Nous vivons tous dans le brouillard d’un électrosmog permanent et cela n’est pas près de s’arranger entre le compteur débile Linky ou la fumeuse 5G et ses milliers d’antennes relais, installées en dépit de la demande – scientifique et citoyenne – d’un moratoire.


"Progrès" et Business must go on alors que pouvons-nous faire ?


L’impact extérieur relève de l’irresponsabilité politique et industrielle mais il est heureusement possible de diminuer les doses émises à l’intérieur de son habitat ou via son téléphone avec ces 5 règles de base :


1. Ne pas conserver le téléphone portable à proximité du cerveau, du cœur, des parties génitales ou des implants électroniques, éviter de téléphoner lors de déplacements ou dans les endroits mal desservis et désactiver les fonction Wi-Fi ou Bluetooth ainsi que les programmes nécessitant une connexion régulière.

2. Se méfier des oreillettes qui donnent un faux sentiment de sécurité en limitant les effets thermiques et (sauf oreillettes pneumatiques à tube d’air) conduisent les ondes tout près du cerveau.

3. Boire une eau faiblement minéralisée et donc peu conductrice.

4. Couper ou débrancher tout ce qui peut se couper ou se débrancher, en particulier durant la nuit. Sanctuariser sa chambre à coucher en supprimant tous les appareils électriques et en éloignant son lit des câbles et des prises.

5. Refuser (ou équiper) le Linky, bannir le micro ondes, les plaques à induction, les ordinateurs sans prise terre et le téléphone portable chez les enfants dont le cerveau est encore en croissance.


Alternativement ou en complément, s’équiper de dispositifs contre les ondes ayant fait leur preuve via des tests biologiques rigoureux. C’est le cas des CMO, la référence scientifique. Attention en effet aux arnaques et à tout ce qui promet de bloquer les ondes : on ne peut pas bloquer les extrêmement basses fréquences ELF ! Les seuls dispositifs pertinents fonctionnent ainsi selon le principe de l’onde de compensation, à destination des cellules qui reprennent alors un fonctionnement normal - mis en évidence par les tests biologiques - évidemment sans perturber le fonctionnement des appareils.


L’idée est en effet de se protéger - voire de se renforcer - et non de s’isoler des ondes, au risque de devoir sinon se couper littéralement du monde moderne… comme toutes ces personnes devenues subitement électro-hyper-sensibles à cause d’une onde supplémentaire et de l’effet de seuil…


Pour en savoir beaucoup plus sur les ondes et comment s’en protéger (+20 minutes) :


L'électromagnétisme est partout et englobe des domaines d'investigations considérables: l'électricité, les ondes électromagnétiques (de la radio aux micro-ondes en passant par la lumière ou les rayons gamma) mais aussi, de manière plus fondamentale, la cohésion et la stabilité des atomes et autres molécules constitutifs de la matière et du vivant. Tout, en réalité, est électromagnétisme c'est à dire interactions entre particules chargées électriquement. Il y a toutefois les bonnes et les mauvaises ondes… dont il convient plus que jamais de se protéger !


Petite histoire de l’électromagnétisme


Force électrique et force magnétique ont longtemps fait bande à part. Côté "électrique", les Grecs - Thalès de Milet précisément - avaient remarqué que des morceaux d'ambre - êlektron en grec - frottés attiraient des corps légers, comme des copeaux de bois ou de la poussière: l'électricité statique. Côté "magnétique" - la force invisible qui attire ou repousse certaines substances - on connaît depuis l'Antiquité la magnétite ou "pierre d'aimant", capable d'attirer le fer tandis que la boussole est d'invention chinoise et remonterait selon certains aussi loin que le IVe siècle av. J.-C !


En 1600, William Gilbert fait pour la première fois la distinction entre "corps électriques" (il invente le terme) et "magnétiques". Il assimile la Terre à un gros aimant et élabore les premières notions sur l'électricité.


En 1752, Benjamin Franklin joue au cerf volant (encore une invention chinoise!), attire la foudre et invente le concept de charge "positive" et "négative"


En 1803, Johann Ritter, déclare que la Terre doit avoir « des pôles électriques comme elle a des pôles magnétiques »


En 1820, le Danois Hans Christian Oersted constate qu'un fil rectiligne parcouru par un courant continu dévie l'aiguille d'une boussole placée à proximité. Un courant électrique produit donc un champ magnétique ! Toute charge électrique en mouvement, tout courant électrique, créée un champ magnétique. Plus l'intensité du courant est forte, plus le champ magnétique est élevé. La Terre elle-même, le plus gros aimant qui soit, doit son champ magnétique au courant électrique généré par les multiples mouvements de sa matière.


En 1831, Michael Faraday démontre le contraire: un champ magnétique engendre un courant électrique, inventant au passage la génératrice de courant: la dynamo. Un électron soumis à un champ magnétique en effet se déplace et créé donc du... courant ! En soumettant ainsi du fil métallique à un champ magnétique, les électrons à l'intérieur du métal se déplacent à l'intérieur du fil et créent... du courant!


En 1860, le physicien écossais James Clerk Maxwell unifie les théories antérieures, invente le concept du "champ" - abandonnant définitivement les fluides électriques baignant dans l'éther - et propose une théorie générale de l'électromagnétisme classique. Les célèbres « équations de Maxwell » sont la base mathématique de toutes les applications modernes de l’électricité.


La théorie de Maxwell est à la source de la théorie de la relativité restreinte d'Albert Einstein en 1905. Elle est dite "classique" car elle se fonde sur des champs continus, par opposition à la théorie quantique qui interprète l'interaction électromagnétique comme un échange de particules appelées photons. La nature de la lumière est ainsi à la fois onde et particule. De masse nulle et se déplaçant à la vitesse de la lumière (soit 299 792 458 m/s), le photon permet des interactions électromagnétiques à une distance infinie, avec heureusement quand même une diminution de l'intensité…


Le concept fondamental de Maxwell est la notion de champ électromagnétique, entité qui englobe le champ électrique et le champ magnétique. L'électromagnétisme est ainsi l'étude de ce champ et de son interaction avec les charges et courants électriques. Le champ électromagnétique possède la propriété essentielle - notamment pour les industriels du sans fil - de pouvoir se propager dans l'espace en l'absence de toute charge ou courant électrique, sous la forme d'ondes électromagnétiques.


L’interaction électromagnétique :


Avec l'interaction nucléaire forte, l'interaction nucléaire faible et la gravitation, l'interaction électromagnétique fait partie des 4 interactions élémentaires responsables de tous les phénomènes physiques observés dans l'Univers, chacune se manifestant par une force dite "force fondamentale".


A part les réactions nucléaires, "tout ce qui n'est pas expliqué par la gravitation l'est par l'électromagnétisme", rappelle le site e-scio.net de vulgarisation de la physique. "Donc, en vrac : pourquoi les atomes existent, pourquoi ils peuvent s'organiser en molécules, pourquoi ces molécules ont tendance à s'agréger. Pourquoi donc, l'édifice que nous sommes tient debout et fonctionne."


A l'exclusion de la pesanteur, l'interaction électromagnétique est donc - et ce n'est pas une mince affaire - responsable de quasiment tous les phénomènes quotidiens dont la lumière, l'électricité, le magnétisme... et la chimie proprement dite, science de la nature qui étudie la matière et ses transformations !


Transportée par le photon - un échange de photons a lieu lorsque deux particules chargées électriquement interagissent - cette énergie est 100 fois moins forte que l'interaction nucléaire forte, en charge de la cohésion des noyaux atomiques. Son rayon d'action est théoriquement illimité mais, en pratique, les charges positives et négatives tendent à se neutraliser. Du coup, cette force peut-être attractive ou répulsive selon le signe des charges électriques.


Jean-Pierre Lutin souligne dans son livre Ces ondes qui tuent, ces ondes qui soignent, que "A l'échelle du cosmos, chaque étoile envoie vers l'infini des quantités colossales d'énergie électromagnétique, qui jouent un rôle certain, mais encore mal connu, dans la naissance, la vie et la mort des galaxies."


"La force électromagnétique possède toujours un double visage. Charges électriques positives et négatives, pôles nord et sud de l'aimant, champ électrique et champ magnétique, ces dualités fondatrices règnent sur l'univers" souligne l'auteur, invitant à une réflexion philosophique, voire spirituelle.


Tout cela est tout à fait naturel et "le tout bat comme une horloge, à des fréquences extrêmement lentes - ce sont les résonances Schumann, découvertes en 1957. Elles oscillent entre 8 et 32 Hz et, comme par hasard, beaucoup de processus spontanés dans nos cellules ou nos organes vibrent dans la même gamme de fréquence".


Rien à voir donc avec les ondes artificielles pulsées qui saturent désormais notre environnement, pour le meilleur (de la technologie) et surtout pour le pire... en matière de perturbations biologiques !


Les ondes électromagnétiques


Une onde est la propagation d’une perturbation produisant sur son passage une variation réversible des propriétés physiques locales du milieu. Elle transporte de l’énergie sans transporter de matière. L'onde électromagnétique est l'un des deux modèles utilisés pour représenter les rayonnements électromagnétiques, l'autre modèle (de la physique quantique) prenant en compte l'existence du photon.


Le champ (ou spectre) électromagnétique est exprimé soit en fréquence, soit en "longueur d'onde". Plus la fréquence est élevée plus la longueur d'onde est courte. Le rayonnement électromagnétique est une série d'ondes très régulières progressant à la vitesse de la lumière.


Plus la fréquence d'une onde est élevée et plus elle possède d'énergie. La fréquence, exprimée en hertz (Hz), est le nombre de fois qu'un phénomène périodique se reproduit par unité de mesure du temps. On parle de nombre de cycles ou d'oscillations par seconde :


1 herz (Hz) = 1 cycle par seconde, onde "longue" 1 kilohertz (kHz) = 1000 cycles par seconde 1 mégahertz (MHz) = un million de cycles par seconde 1 gigahertz (GHz) = un milliard de cycles par seconde, onde "courte" 1 teraherz (THz) = ? (prière de m'adresser la réponse)


La plus connue des ondes électromagnétique est la lumière, onde dont la longueur d'onde correspond au spectre visible (onde à laquelle est sensible notre rétine), soit les longueurs d'onde entre 380 et 800 nanomètres, soit une fréquence entre 380 000 et 800 000 GHz, soit une vibration de plusieurs centaines de milliards de fois par seconde !


Non moins fameux, les sons sont également des ondes. Le "La" d’un diapason moderne correspond ainsi à une fréquence sonore de 440 hertz, soit 440 oscillations par seconde. Nous étions précédemment à 432 Hz, une fréquence bien plus naturelle et apaisante que nous aurions grand intérêt à redécouvrir, par exemple via le Psio-Trans.


L'ensemble du spectre est subdivisé en Rayonnements non ionisants (RNI) et en Rayonnements ionisants (ultraviolet, rayons X et gamma). Ces derniers sont dit ionisants car ils émettent des « rayons » d'énergies (appelés "quanta" ou "grains d'énergie") suffisants pour transformer les atomes et les molécules qu’ils traversent en ions (un atome qui a perdu ou gagné un ou plusieurs électrons) ce qui peut rendre la matière instable. Le rayonnement ultraviolet est ainsi nocif pour la peau.


Parmi les rayonnements non ionisants (RNI) et outre le rayonnement optique (infrarouge, lumière visible et une partie des ultra-violet), on distingue les "Basses fréquences", les "Fréquences Radio" et les "Hyperfréquences", elles mêmes subdivisées en "Hautes fréquences" et "Micro-ondes". On parle de "micro" car on ne fait plus référence à la fréquence mais à la longueur d'ondes et que celle-ci est très courte, entre 30 cm et 1 mm.


Les Basses fréquences (1Hz à 10KHz) se caractérisent par une grande longueur d'onde. Cela porte loin mais requiert une grande antenne. Les champs électrique des appareils électriques et réseaux de fils électriques se mesurent en volt par mètre (V/m). Les champs magnétique des lignes électriques (surtout hautes tensions), transformateurs, moteurs électriques et autres appareils électriques de fortes puissances (kW) comme les radiateurs ou les plaques chauffantes se mesurent en ampère par mètre (A/m), en Milligauss (mG), en microtesla (µT) ou en nanoTesla (nT). Oui, je sais, c’est simple ! 1 mG = 0,1 µT = 100 nT


Les Hyperfréquences ou ondes "courtes" transportent beaucoup de données et requiert de petites antennes. C’est la technologie des téléphonie mobile (antennes relais et téléphones mobiles), des technologies sans fil (WIFI, Bluetooth,…) des téléphones DECT (téléphone fixe sans fil: base + combiné), des fours à micro-ondes, plaques à induction, compteur "intelligent" Linky ou fumeuse 5G. On mesure ces ondes différemment selon que nous sommes en champ proche (idem que pour les basses fréquences) lorsque la distance entre l'émetteur et la personne exposée est inférieure à 3 fois la longueur d'onde ou en champ lointain (en micro Watt /m² ou en mW/m²) 1 µW/m2 = 0,0006 V/M et cela ne simplifie pas les choses, comme s’il était important que l’on n’y comprenne rien !


La quantité d’information (et donc la qualité) que peut transmettre une onde est directement liée à sa fréquence: plus elle est grande, plus elle "vibre" et plus on pourra transporter d'information. La radio FM (autour de 100 MHz) est ainsi de meilleure qualité que la radio "Grandes Ondes" (autour de 200 kHz) mais transmet nettement moins de données que la télévision qui requiert entre 400 et 800 MHz. La téléphonie mobile ou l'internet sans fil travaillent quant à eux aux environs des 2 gigaherz (GHz), ce qui est également le cas des micro-ondes...


Rassurant ? Pas vraiment et d'autant moins lorsque l'on sait que les nouvelles technologies utilisent des hyperfréquences pulsées : des salves d'ondes sont envoyées par intervalles chaque seconde: une dizaine (10 Hz, ondes Wi-Fi), une centaine (tél DECT), plusieurs centaines (217 Hz, tél mobile) ou même plusieurs milliers de fois (1736 Hz) par seconde pour certaines antennes-relais ! Ce n'était pas le cas précédemment avec la technologie analogique et cela n'existe pas dans la nature où les ondes sont naturellement continues. Voilà pourquoi nous pouvons bien parler d'ondes artificielles!


Les effets des ondes sur la santé


Tout est énergie et l'homme, qui aime pourtant à se considérer comme supérieur, ne fait pas exception à la règle. Il sera donc naturellement sensible aux variations électromagnétiques, comme le démontrent les nombreux effets sur la santé des appareillages émetteurs d'ondes "artificielles".


"Il est d'une extrême importance de savoir qu'un organisme vivant, tant au niveau microscopique (cellulaire) que macroscopique, est un système quantique, loin de l'équilibre thermodynamique. Ceci implique des possibilités totalement nouvelles selon lesquelles l'organisme peut être sensible à des champs électromagnétiques hyper faibles, et à son tour répondre à ces champs d'une manière entièrement athermale." explique le Dr. Gerhard J. HYLAND, Professeur en Physique Théorique à l'Université de Warwick, UK.


Pour le dire autrement : l’absence de réchauffement des tissus ne veut pas dire grand-chose et les normes feraient mieux de se pencher sur les effets biologiques des ondes.


Comme nous l'avons vu précédemment, une bonne partie des ondes est naturelle: le champ magnétique terrestre est par exemple de 500 milligauss (500 mG), soit un demi-gauss, mais il s'agit d'un champ continu circulant du + vers le -, comme le courant électrique des batteries ou des piles.


Au contraire, comme le rappelle Thierry Gautier dans son livre Les ondes électromagnétiques au quotidien , "Le champ magnétique d'un appareil ménager fonctionnant sur le secteur peut être nocif, même à une faible intensité de 2 milligauss ( 2mG) car il est généré par un courant non pas continu mais alternatif."


Le courant alternatif (CA) n'existe pas dans la nature. Il s'agit d'un courant électrique périodique qui change de sens deux fois par période et qui transporte des quantités d'électricité alternativement égales dans un sens et dans l'autre. Sa fréquence, exprimée en hertz (50 Hz en Europe, 60 Hz en Amérique du Nord) est le nombre de changement de sens (alternances) qu’effectue le courant en une seconde. Un courant alternatif de 50 Hz change ainsi 100 fois de sens par seconde (50 alternances positives et 50 alternances négatives). C'est ce rythme trépidant qui perturbe l'organisme.


Au niveau des hautes fréquences, la problématique est double. Il y a tout d'abord la puissance d'émission: le rayonnement naturel total est ridiculement bas à environ 0,000005 µW/m² tandis que les ondes artificielles autorisées par l'OMS peuvent atteindre 100 000 µW/m² (61 V/M). Les ondes autorisées sont ainsi 20 milliards de fois plus élevées que les champs électromagnétiques (CEM) naturels !


L'autre problématique est liée aux fréquences de fonctionnement de nos organes, qui peuvent être perturbés par des fréquences parasitaires liées à nos appareils.


Les ondes cérébrales sont ainsi catégorisées selon leurs fréquences:

  • ondes delta de 0,5 à 4 Hz: le sommeil profond, sans rêves, le plus physiologiquement récupérateur.

  • ondes thêta de 4 à 7 Hz: la relaxation profonde, obtenue par exemple par des méditant expérimentés.

  • ondes alpha de 8 à 13 Hz: la relaxation légère, l'éveil calme.

  • ondes bêta de 14 à 30 Hz: les activités courantes et le sommeil paradoxal (le temps des rêves).

  • ondes gamma à partir de 30 Hz: une grande activité cérébrale (créativité ou résolution d'un problème).

Or, la fréquence d'un téléphone portable se situe entre 20 et 50 Hz soit la fréquence la plus excitée du cerveau humain ! Si cette fréquence parasite est à portée du cerveau, elle l'influencera par effet de résonance et c'est la raison pour laquelle on aura plus de mal à s'endormir avec un sommeil de moindre qualité avec un téléphone posé sur sa table de chevet ! Soumis en permanence à l'influence de son téléphone, on développera également un état latent de stress...


Le stress électromagnétique


Le mot STRESS a été employé par H. Selye (Montréal, 1936) pour signifier l'état réactionnel d'un organisme vis-à-vis d'un excitant quelconque.


L'excitant que H. Selye appelle le "stressor", peut être un organisme vivant (microbe, prédateur), un facteur physique (froid, chaleur, irradiation), une substance chimique (poison), une lésion organique (hémorragie) , un trouble du système nerveux ou de l'équilibre psychologique (surmenage, émotion désagréable ou agréable).


La réponse au stress ou "syndrome général d'adaptation" correspond à l'ensemble de réactions non spécifiques de l'organisme en réponse à une agression quelconque.


Elle se déroule en 3 phases successives, sous le contrôle de mécanismes nerveux, hormonaux et immunitaires :


1. La réaction d'alarme, au cours de laquelle l'organisme, surpris par l'agression déclenche ses premières réactions de défense, notamment par le biais d'une décharge accrue d'adrénaline.


2. Le stade de résistance, plus durable, pendant lequel l'organisme accroît ses capacités de défense dans le but de se soustraire à l'agression. Cette phase est sous la dépendance des hormones qui mobilisent les substances énergétiques (corticoïdes, adrénaline, glucagon).


3. Un stade d'épuisement lié à la chronicité du stress, aboutissant à un dérèglement des mécanismes de défense et susceptible de déboucher sur l'apparition de pathologies (maladies auto-immunes, maladies dégénératives, dépression, etc.)


Des études réalisées sur l'animal et chez l'homme ont permis de mettre en évidence des perturbations cellulaires, des modifications physiologiques, ainsi que des symptômes caractéristiques de l'état de stress lors de l’utilisation de technologies émettrices d’ondes artificielles.


L'utilisation quotidienne et courante des appareils émetteurs de rayonnements, ainsi que la surcharge électromagnétique de l'environnement qui en résulte, placent l'organisme dans un contexte de stress électromagnétique chronique, susceptible à terme de favoriser l'installation de n'importe quelle pathologie. D'autant plus que certaines fréquences émises par de tels appareils sont proches de celles de fonctions physiologiques…


Les pathologies liées aux ondes électromagnétiques


Comme le rappelle Carl de Miranda dans son livre Réduire les ondes électromagnétiques, c'est parti!, le coup de soleil, c'est "l'expérience sans doute un peu douloureuse, que des ondes électromagnétiques peuvent considérablement affecter un être vivant.[...] En gros, la vibration énergétique de la lumière du soleil provoque une détérioration de l'intégrité de toutes petite molécules."


Au-delà du soleil et du cancer de la peau, les ondes artificielles générées par l'homme depuis les années 1950 multiplient les risques et les symptômes de pathologies variées. La liste toujours croissante des effets biologiques nocifs ou potentiellement nocifs atteste de l'existence d'un risque réel d'émergence de pathologies induites par le stress électromagnétique chronique.


Chaque organe de l'organisme fonctionne selon une fréquence régulière qui lui est propre et qui se trouve de plus en plus perturbée par la fréquence pulsée (c'est-à-dire non continue) des appareils électroniques et autres technologies sans fil: le cerveau fonctionne ainsi entre 0,5 et 50 Hz, ce qui correspond aussi aux pulsations des ondes Wi-Fi ou de la téléphonie...


Est-ce un hasard si les cas de cancer (notamment du cerveau) ou d'Alzheimer explosent ?


"Il y a 20 articles qui montrent que les champs électromagnétiques de basses fréquences ou d'extrêmement basses fréquences provoquent de l'Alzheimer" déclarait le Pr Belpomme, le 11 février 2016 à un colloque Pour la reconnaissance de l'électro hypersensibilité à Paris.


Le 31 mai 2011, juste après le départ du Professeur suédois Anders Ahlbom aux conflits d'intérêts majeurs, le CIRC classait les Champs de radiofréquences électromagnétiques - téléphone portable, station de base (antenne relais), téléphone sans fil (DECT), Wi-Fi - dans la catégorie 2B des "peut-être cancérigènes", au même titre que le Plomb et de toute une flopée de saloperies chimiques.


La plus grande enquête épidémiologique jamais menée sur l’impact des lignes à hautes tension sur la santé est suédoise. Elle a été menée durant 25 années (entre 1960 et 1985) sur un échantillon de 436 000 personnes vivant dans un couloir de 300 mètres à proximité d’une ligne à très haute tension. Elle conclut à une augmentation proportionnelle du risque de leucémie chez les enfants de moins de 15 ans, suivant l'intensité du champ magnétique auquel ils sont soumis:


Exposition moyenne supérieure à 1 mG = risque relatif 2 fois plus important.

Exposition moyenne supérieure à 2 mG = risque relatif 2,7 fois plus important.

Exposition moyenne supérieure à 3 mG = risque relatif 3,8 fois plus important.


De fait, en Suède, plus aucune ligne à haute tension ne peut être implantée à moins de 75 mètres d’une habitation ou d’une école et les champs magnétiques ne doivent pas dépasser 2milliGauss, contre 1000 mG pour les normes de l'OMS...


Parmi tous les effets des ondes électromagnétiques sur l’organisme, citons quelques études :

  • Baisse de 8 % de la mobilité des spermatozoïdes et de 9% de leur viabilité pour une incidence significative sur la fertilité masculine (Université d’Exeter, Royaume-Uni, Juin 2014)

  • Modification de la sécrétion de la mélatonine qui joue un rôle crucial dans le sommeil et dans les processus de défense immunitaire (Wilson et coll., 1989 ; Reiter, 1993 ; Santini 2003) ;

  • Induction de la synthèse des protéines de stress ou heat shock proteins (Daniells et coll., 1998 ; Goodman and Blank, 1998 ; Weisbrot et coll. 2003)

  • Modifications de l'électroencéphalogramme (Mann et coll., 1999 ; Huhert et coll., 2000) ;

  • Troubles neurologiques (Hocking et Westerman, 2000 ; Johensen, 2000)

  • Baisse de la pression artérielle (Braune et coll., 1998) ;

  • Augmentation de la perméabilité de la barrière hémato-méningée qui normalement met le cerveau à l'abri des substances toxiques que véhicule le sang périphérique (Persson et coll., 1997 ; Schirmacher et coll., 2000)

  • Déclenchement de céphalées, asthénie (Hocking, 1998 ; Oftedal et coll., 2000) ;

  • Troubles de la mémoire (Koivisto et al., 2000 ; Krause et coll., 2000 ; McKay et Persinger, 2000) ;

  • Problèmes de fertilité (Mgras et coll., 1997 ; Cecconi et coll., 2000) ;

  • Implication dans les processus cancéreux (Repacholi et coll., 1997 ;Hardell et al., 1995 ; 2000 ; Bianchi et coll., 2000 ; Savitz et coll., 2000) ;

  • Baisse des défenses immunitaires (Youbicier et coll. 1997 ; Del Signore et coll., 2000 ; Marino et coll., 2000 ; Youbicier 2000-2001 ; Bastide et coll. 2001).

  • Génotoxicité: perturbation au niveau de l'ADN, ADN brisé, rupture d'ADN avec à terme des risques de cancer et de leucémie (notamment Rapport européen REFLEX, 2004)

  • Risques significatifs le foetus si la maman s'expose trop aux ondes avec notamment un risque accru de fausse couche (Science et Avenir N°663, Mai 2002).

Epuisement, stress, irritabilité, troubles de la concentration ou de la mémoire, fatigue oculaire, maux de tête, troubles du sommeil... Autant de symptômes qui pourraient provenir des ondes (et pas seulement du patron colérique ou du non-sens du travail). Et attention: si rien n'est fait pour corriger, cela ira de mal en pire avec le risque de finir à terme électro hyper sensible...


Et si vous ne ressentez encore rien (tant mieux pour vous !), eh bien cela ne signifie pas non plus que vous n'êtes pas impacté, simplement que vous disposez (encore) d'un bon système immunitaire. Il serait néanmoins préférable de veiller à ne pas trop multiplier les ondes autour de vous.


Globalement, la prolifération exponentielle des appareils électroniques émetteurs de rayonnements – sans même parler du compteur Linky ou de la 5G – constitue en effet un risque réel de Santé Publique qu'il devient urgent d'anticiper en appliquant le principe de précaution.


Les 8 règles de base pour se protéger des ondes électromagnétiques


Quel intérêt d'informer de la nocivité des ondes artificielles s’il n’y avait des solutions concrètes et pratiques ? Des solutions, heureusement il y en a, dont la plus logique qui soit : limiter autant que possible notre proximité d’avec les ondes et donc les appareils émetteurs. Travailler en amont des pollutions afin de ne pas devoir trop être perturbé en aval. Difficile sans doute avec les antennes-relais ou le Wi-Fi des voisins mais tout à fait à notre portée dans nos intérieurs ou dans nos mains au travers de 8 règles de base et de bon sens :


1. Utiliser son portable et le sans-fil le moins souvent et le moins longtemps possible ! Rappelons que les normes précisent que le temps maximum de communication devrait être de 6 minutes avec un repos de 2 heures afin de laisser refroidir les liquides cérébraux...


2. Eteindre et débrancher les appareils dès qu'on ne les utilise pas plutôt que de les laisser en veilleuse. Règle valable pour son téléphone mais aussi pour le Wi-Fi, le Bluetooth de la voiture, les appareils électriques (dont les radiateurs qui émettent parfois encore plus lorsqu'ils sont éteints!) ou même les rallonges et prises multiples, que des appareils soient branchés dessus ou pas!


3. Sanctuariser sa chambre à coucher et celle de ses proches. Jamais de téléviseur ou d'ordinateur, le minimum de métal sous le lit (matelas à ressorts, lit articulé électrique), le minimum de câbles électriques (sans aucun contact avec le lit pour ne pas provoquer de couplage !) et une distance d'au moins 1 mètre avec tout interrupteur ou appareil électrique, lampe de chevet comprise. Le téléphone utilisé par nombre d'ados comme réveil sur la table de nuit est une très mauvaise idée...


4. Protéger les enfants et les femmes enceintes ! Le minimum de contact ou de proximité avec les cerveaux en développement (qui absorbent deux fois plus d'ondes que celui des adultes). Jamais de baby-phone sur le berceau (ou alors analogique et à distance respectable), pas de tablette tactile pour les enfants et le strict minimum de téléphonie. Côté femmes enceintes, pas de micro-ondes ou de plaques à induction en cuisine, jamais de téléphone à proximité du ventre ou d'ordinateur sur les genoux.


5. Limiter au maximum les appareils électriques ou électroniques à proximité du corps. Privilégiez les produits avec batterie à ceux branchés sur le courant sans prise terre : rasoir électrique, brosse à dents électriques,... Un peu plus difficile certes avec le sèche cheveux et le fer à repasser... Evitez les montres connectée, les oreillette Bluetooth ou les souris sans fil. Pas non plus de couvertures ou de sièges électriques chauffants (les allumer puis les débrancher une fois chauds). Pas de câbles sous vos pieds au travail. Avec les autres appareils, maintenez une distance de sécurité d'1 mètre voire 2 mètres pour le micro-ondes, surtout si sa porte n'est plus étanche...


6. Utiliser autant que possible des appareils avec prise-terre (classe 1) après avoir vérifié, cela va sans dire, que celles-ci fonctionnent correctement. C'est d'autant plus important avec les appareils dont vous avez une proximité prolongée type ordinateurs portables (même si c'est de plus en plus rare notamment sur les Macs !). Eventuellement travaillez sur batterie. Débranchez les prises lorsque vous ne les utilisez plus: la fonction "veille" ne coupe rien!

7. Débarrassez-vous des appareils les plus problématiques: le micro-ondes à la porte rarement étanche (et qui en outre dénature les aliments), la plaque à induction avec laquelle on est obligé (si l'on souhaite cuisiner) d'avoir une proximité trop prolongée, le téléphone sans-fil DECT (au profit d'un téléphone à fil ou au minimum d'un DECT Eco+ qui coupe les ondes hors communication), les ampoules fluocompactes (fausse bonne-idée écologique), les lampadaires halogènes (qui émettent sur toute leur hauteur), les lampes de bureau équipées d'un transformateur très émetteur, les vieux tubes cathodiques, le chauffage électrique au sol (plus difficile à recycler), les abat-jours qui descendent trop bas, les spots sur câbles tendus (distance de sécurité d'au moins 1,50 m), les tubes fluorescents (très mauvais éclairage de toute manière), les ordinateurs sans prise terre,...


8. Faites preuve de bon sens et refusez dans votre environnement tout émetteur d'ondes supplémentaires, d'autant plus si vous ne pouvez pas les contrôler, comme par exemple les compteurs "intelligent" (en fait complètement débiles) Linky ou Gazpar.


Se protéger des ondes du Linky et de la 5G ?


Vis-à-vis du compteur débile Linky, le plus simple serait encore de l’avoir refusé. Lorsqu’il est déjà installé, il est heureusement possible de limiter ses effets délétères : en renforçant son système immunitaire et en suivant les règles ci-dessus mais aussi voire surtout en s’équipant d’un dispositif spécifique : soit sur une prise du circuit électrique (Absoplug), soit directement sur le compteur (Absomagnet) avec l’aide d’un électricien. L’idée dans les 2 cas est de supprimer le courant parasite. Nous contacter pour plus de détails.


En ce qui concerne la 5G, elle sera imposée à tous et il sera donc difficile de l’éviter en amont. En aval, subiront surtout les effets de cette onde supplémentaire les personnes déjà affaiblies dans leur système immunitaire et sur le point de basculer dans l’électro-hyper-sensibilité.


Des experts parlent en effet d'effets de seuil: tout va bien jusqu'au moment où une dose d'ondes supplémentaires fait basculer du côté obscur. Ce peut-être le cas par exemple lors de l'installation du compteur Linky, d’un nouveau poste de travail au contact de davantage d’ondes ou donc du déploiement de la 5G.


C’est la raison pour laquelle il ne faut pas tarder – dès les premiers symptômes de gêne – à se protéger des ondes électromagnétique. A défaut de législation vraiment contraignante, il appartient à chacun de prendre ses responsabilités et de modifier quelque peu ses habitudes pour éviter d'atteindre le seuil limite de tolérance, le cumul dans le temps étant un principe admis par les experts.


Les solutions technologiques pour se protéger des ondes électromagnétiques, y compris la 5G


"Tout le monde propose son système de protection. Moi je n'en connais qu'un qui a fait ses preuves. Je les ai fait tester par des labos, ça marche très bien" a déclaré le Professeur Marc Henry lors de sa conférence Eau et électromagnétisme, le point de vue de la science.


Il faisait référence aux Oscillateurs Magnétiques de Compensation – CMO pour les intimes – une technologie basée sur le principe de l’onde de compensation.

Tests biologiques démontrant l'efficacité de l'onde de compensation des CMO, la référence scientifique pour se protéger des effets des ondes électromagnétiques.
Tests biologiques démontrant l'efficacité de l'onde de compensation des CMO

"Les CMO [...] présentent les meilleures garanties scientifiques par rapport à tout ce que nous pouvons trouver actuellement sur le marché de ce type d'appareils.[...] Ce système permet d'établir une biocompatibilité électromagnétique entre les champs électromagnétiques artificiels générés par les technologies modernes, l'habitat, l'homme et notre eau de boisson. Les publications scientifiques sont nombreuses et la petite vidéo sur le test de la désorientation des fourmis est tout simplement révélatrice de ce qui se passe aussi probablement chez l'homme" explique également Richard Haas dans son livre Comment purifier et revitaliser votre eau de table.


Le principe des CMO n'est pas de bloquer, d’atténuer ou de disperser une partie des ondes. Non seulement il n’est pas possible de bloquer les extrêmement basses fréquences (ELF) responsables des perturbations biologiques mais il serait contreproductif de ne bloquer que les micro-ondes tout en laissant passer les ELF : selon une étude, la mortalité embryonnaire des poussins était alors augmentée, ce qui remet totalement en cause la validité des normes officielles DAS basée uniquement sur le réchauffement des tissus lié aux micro-ondes.


La technologie CMO n'augmente pas, ne réduit pas, n’absorbe pas ni ne modifie les rayonnements ou l'efficacité des appareils polluants : ils n'agissent pas sur le fonctionnement des appareils électroniques. L’action de la technologie CMO se porte directement au niveau cellulaire.


En une phrase, le CMO compense les effets biologiques des rayonnements électromagnétiques artificiels et restaure le rythme naturel du corps humain. L'oscillateur est composé d'une solution microcristalline brevetée, structurée par une charge électromagnétique, elle-même contenue dans une antenne d'aluminium élaborée en fonction du matériel et des fréquences à protéger.


Activée par le rayonnement de l'appareil émetteur d'ondes (téléphone, wi-fi, ordinateur, etc.), cette substance saline cristalline - non ionisante et non toxique - va générer un signal hyper-faible de compensation. Ce signal est d'environ un million de fois plus faible que le rayonnement d'un téléphone mais néanmoins suffisant pour être perçu par l'organisme. Il est d'intensité comparable à l’activité électromagnétique (EM) du cerveau humain.


Le signal de compensation va entrer en résonance avec les récepteurs des organismes vivants, et permettre ainsi aux cellules de l'organisme d'échanger de façon normale et naturelle, malgré la présence du rayonnement électromagnétique artificiel. C'est ce que les chercheurs et scientifiques ont démontré via les multiples études biologiques effectuées: ils ont effectivement constaté un rétablissement des paramètres de l'organisme !


Face à des effets biologiques des ondes avérés, seuls des tests biologiques permettent en effet de juger de l'efficacité d'une protection! Et qui en a réalisé à part les CMO ? Objectivement pas grand monde...


Les CMO demeurent ainsi la référence historique et scientifique, la seule solution à être reconnue par l'AFSSAPS (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) comme un "excellent moyen (...) de nous protéger efficacement de l’incertaine mais probable nocivité des ondes électromagnétiques", "ils vous aideront à mieux vivre les ondes électromagnétiques probablement nocives qui nous entourent".


Allez-vous ressentir les effets des CMO ? Si vous n'étiez pas particulièrement sensibles aux ondes, normalement pas mais cela ne signifie pas qu'ils ne vous protègent pas ! Vous limiterez par contre le risque de devenir à terme électro-sensible et préserverez ainsi votre santé et votre vitalité.


Si vous notez déjà une perturbation liée aux ondes (stress, irritabilité, maux de têtes, troubles du sommeil, fatigue, etc.), alors les CMO amélioreront normalement vos symptômes et vous permettront de ne pas voir empirer votre état !


Beaucoup de personnes ressentent une gêne au téléphone liée au réchauffement des tissus. Dans ce cas précis, cette sensation doit grandement (voire totalement) disparaître suite à l'apposition de la petite pastille CMO sur le téléphone ou sa coque de protection. On peut alors téléphoner plus longtemps sans gêne.


Destinés à prévenir les effets biologiques des ondes, les CMO doivent toutefois avant tout être considérés comme un principe de précaution de base sur le long terme. La plupart des utilisateurs (lire les témoignages) ressentent un mieux palpable et les animaux apprécient aussi mais il est bien évident que les sensibilités sont variablement développées selon les individus.


Les CMO fonctionnent dans tous les cas mais ces protections anti-ondes – disponibles sous forme de cônes, de pastilles et de porte-clef – bénéficient néanmoins d'une garantie de satisfaction de 30 jours. Ils ne remplacent pas le bon sens et la limitation des ondes en amont mais permettent de vivre, dormir et travailler normalement, en dépit d’une atmosphère de plus en plus chargée en ondes…



Pour en savoir encore plus sur la protection contre les ondes électromagnétiques:

Les 8 fondamentaux de la vitalité : https://www.solutionsbio.ch/protection-ondes

Le site internet sur les ondes : www.protection-ondes.ch

Me contacter pour une analyse gratuite et experte de votre situation : +41 (0)76 532 8838 (rappel possible), sms ou mail

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