Pourquoi la Bioélectronique de Vincent (BEV) dérange-t-elle autant ?
Dernière mise à jour : 22 mai
La Bioélectronique chde Vincent (BEV) est considérée comme la science énergétique de l’eau (et des aliments). Mais pourquoi n’en entend-on jamais parler ? Pourquoi est-elle-même parfois caricaturée ? Découverte de cette science toujours novatrice et solutions écologiques pour retrouver une eau biocompatible avec l'auteur du livre La Qualité de l'eau.
Pour vous repérer facilement :
Le point sur la question en 3 minutes
Vincent, un ingénieur au service de l’eau…
Censurer la BEV, le cas Wikipedia
Les mesures physico-chimiques de base
L’énergie, premier nutriment !
L’énergie, première médecine !
Les 4 terrains énergétiques de la BEV
La BEV décrédibilisée à cause de la NASA ?
La Bioélectronique est-elle scientifique ?
La Bioélectronique de Vincent en 3 minutes chrono :
La Bioélectronique de Vincent (BEV pour les intimes) est la référence de (presque tous) les passionnés de l’eau. Elle est occultée par (presque tous) les autres, dont les pouvoirs publics, les embouteilleurs, les Régies distributrices d’eau, Big Pharma et l’industrie agro-alimentaire dans son ensemble.
Que dit donc la Bioélectronique de si dérangeant ? Pour simplifier : que nous avons besoin d’énergie! De quelle énergie (taboue) parle-t-on ? De l’énergie fondamentale, au cœur des atomes et des molécules constitutifs de la matière et du vivant : les protons et les électrons. Eh oui, cette énergie là n’a rien d’ésotérique et c’est sans doute pour cela qu'elle dérange ! Que recommande la Bioélectronique de Vincent ? De consommer une eau et des aliments chargés d’énergie et d’éviter ceux qui en sont dépourvus… c’est-à-dire les eaux chlorées, trop minéralisées ou encore la malbouffe industrielle. C'est du bon sens et donc évidemment que cela dérange !
Cette énergie fondamentale se mesure facilement via deux paramètres physico-chimiques de base :
- La richesse en protons se mesure par le potentiel hydrogène ou pH : plus une eau est acide (pH < 7), plus elle est riche en protons (ions hydrogène H+) et en activité magnétique. Attention ici à ne pas confondre alcalin et alcalinisant, ne pas oublier l’effet tampon de l’organisme : l’acidose est le fait de trop d’alcalinité !
- La richesse en électrons se mesure par le facteur d’oxydoréduction ou rH2 : plus une eau ou un aliment est oxydé (rH2 > 28), moins il apporte d'énergie électrique à l'organisme.
Selon le site Eautarcie.org du professeur Joseph Országh, l'eau biocompatible "est faiblement minéralisée, légèrement acide et possède un caractère redox indifférent ou légèrement réducteur, jamais oxydant (par rapport à l'eau chimiquement pure)."
Traduit en chiffres, l'eau biocompatible "parfaite" ou "idéale" devrait avoir les caractéristiques bioélectroniques suivantes:
légèrement acide (pH compris entre 5,5 et 6,8)
eau antioxydante, neutre ou légèrement réductrice (rH2 compris entre 25 et 28)
aussi peu minéralisée que possible (résidu sec inférieur à 120mg/L voire moins de 50 mg/L., tout en n'étant pas totalement vide afin d'être en mesure de structurer l'eau.)
résistivité supérieure à 6 000 ohms (mais inférieure à 50 000 ohms, aucune eau naturelle n'étant aussi pure)
« Pour juger de la qualité d’une eau et de son “caractère vivant”, il faut élargir notablement les éléments d’appréciation et passer d’une analyse purement chimique à une évaluation globale dans laquelle les critères physiques et physico-organiques occupent une place prépondérante : vivacité, niveau d’énergie, surface interne ou structure de l’eau. Autrement dit, évaluer la capacité de l’eau à transmettre la vie afin qu’elle redevienne un aliment source de vie », indiquent Zerluth et Gienger dans leur livre L’eau et ses secrets (Ed. Désiris).
Nous touchons là aux limites de la Bioélectronique. Les paramètres physico-chimiques de base (pH et rH2) ne captent en effet pas toujours l’énergie subtile de l’eau obtenue après dynamisation et notamment liée à l’agencement des molécules d’eau entre elles via la liaison hydrogène. Cette énergie, pourtant immédiatement perceptible en bouche, se mesure alors via des tests biologiques… ou des analyses de BEV plus poussées !
La théorie énergétique de la Bioélectronique de Vincent (BEV) est utile pour éviter le pire (eaux chlorées, adoucies ou trop minéralisées) et élargir les perspectives mais la meilleure eau est celle que nous avons le plus de plaisir à boire... en pratique ! Ainsi, lors de tests réalisés durant deux ans dans notre Arcade de Genève, 8 personnes sur 10 préféraient l’eau filtrée et dynamisée via un système intégral type Biofiltre + Biodynamizer à l’eau osmosée et dynamisée présentant pourtant de meilleurs paramètres énergétiques de BEV. Comme quoi, la théorie doit parfois s’effacer devant le ressenti… de l’eau biocompatible !
Encore mieux comprendre la Bioélectronique de Vincent (+16 minutes) :
Le parcours de Louis-Claude Vincent et ses découvertes mériteraient un Prix Nobel mais il n’a toujours pas de rue à son nom dans sa ville natale du Puy-en-Velay ! Quant à sa fiche Wikipédia, elle est caricaturale sinon injurieuse avec longtemps (avant que je n'intervienne) 5 lignes en tout et pour tout sur la Bioélectronique... et pour la critiquer ! Mais c’est malheureusement un classique : ce qui dérange est souvent ridiculisé…
Louis Claude Vincent, un ingénieur au service de l’eau…
Ingénieur hydrologue et diplômé de l’École supérieure des travaux publics, Louis-Claude Vincent (1906-1988) a consacré toute sa vie à l’eau, à la santé… et au lien entre les deux ! Ingénieur conseil durant douze ans pour les services d’eau et d’égout de centaines de communes françaises, aux premières loges, donc, de la qualité potable de l’eau, il acquiert statistiquement la conviction que « les taux de mortalité due aux maladies graves (tuberculose, cancer, maladies cardiovasculaires…) sont directement liés à la qualité de l’eau délivrée aux populations. Ces taux augmentent quand l’eau est très minéralisée et rendue “potable” après traitement et adjonction de produits chimiques oxydants comme le chlore ».
Un lien statistique entre les taux de cancer et les minéraux ou le chlore des eaux ? Difficile sans doute, avec un constat pareil, de continuer à travailler pour le service des eaux. Louis Claude Vincent s’oriente alors vers la création de barrages hydroélectriques pour le compte d’EDF. Rien de tel qu’un peu d’électricité pour faire la lumière : en 1948, associant l’eau, l’énergie et la santé biologique, il fonde – avec le docteur en pharmacie Jeanne Rousseau – la science moderne de l’eau : la Bioélectronique .
L'uchronie Bioélectronique…
Cette nouvelle science est au départ – comme toute nouveauté scientifique – farouchement combattue par les mandarins de la médecine et la meute des scientistes. On leur rétorqua toutefois que :
1/ Tout dans l’univers est électromagnétisme c’est-à-dire interactions de particules chargées électriquement. Il suffit d’électrodes plongées dans un liquide pour y mesurer l’activité en protons (H+) et en électrons (e-) c’est-à-dire en énergie magnétique et électrique.
2/ Les calculs et formules – notamment pour la notion essentielle de rH2, voir les travaux des professeurs József Országh ou André Fougerousse – de la BEV sont rigoureux et confortés par suffisamment de mesures de terrain pour valider les hypothèses initiales.
3/ La santé et le « Bon Equilibre Vital » ou homéostasie des citoyens n’a pas de prix et passe avant les préjugés de quelques uns ou le profit des multinationales.
Comme le déclara le Dr Marc Salomon, cardiologue : « Passons de l’univers de la maladie à l’univers de la santé, seul moyen réel, d’améliorer la qualité de vie, d’allonger l’espérance de vie sans maladie chronique et de réguler les dépenses de santé ». (Le Monde, samedi 22 août 2020.)
Un autre paradigme…
Bref, le bon sens finit par s’imposer, y compris sur Wikipedia, où la page consacrée à Louis Pasteur, présenté comme un imposteur chimiste et hémiplégique, est finalement supprimée en décembre 2022. Dans l’ensemble des villes, les rues "Pasteur" sont remplacées par des rue Claude Bernard, Antoine Béchamp ou Louis-Claude Vincent, notamment dans sa ville de naissance du Puy-en-Velay où il y est célébré comme un bienfaiteur de l’humanité.
Depuis, le monde n’est plus tout à fait le même :
- La BEV est enseignée à la Faculté de médecine : « La vie a ses lois. Ce sont elles qu’il faut connaître, respecter et enseigner pour une meilleure santé » (Louis-Claude Vincent). La préservation du terrain et la prévention remplacent bientôt la gestion chimique des pathologies. Des diagnostics précis et fiables sont réalisés afin de détecter en amont les risques et permettre ainsi de rectifier les déviations. Le message est clair et le patient responsabilisé à privilégier la qualité sur la quantité. La symptomatique constitue désormais une niche, peu rentable depuis que l’essentiel des citoyens préfèrent demeurer en bonne santé. Le cancer cesse de progresser et la durée moyenne de vie en bonne santé s’améliore. Big Pharma devient Small Pharma.
- Fin 2019, un nouveau virus est repéré en Chine avec risque de pandémie. Le Président Français prend la parole pour rappeler que la guerre contre les virus est anxiogène et fragilise : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout » (Claude Bernard), « tout micro-organisme doué de vie ne se développe que sur un terrain qui lui est favorable » (André Fougerousse) Les personnes affaiblies et à risque devront donc renforcer leurs terrains. Médecins traitants et naturopathes sont mis à contribution auprès des personnes âgées et des EHPAD pour les aider à passer le cap à coup d’hydratation de qualité, d’alimentation vivante, de vitamines, de respiration et d’activité physique au grand air. Chaque soir, la TV comptabilise le nombre de personnes ainsi en meilleure santé dans le pays.
- En agriculture, les mesures en bioélectronique des sols ayant démontré les ravages des intrants chimiques, les agriculteurs retouchent terre et se convertissent à l’agriculture biologique, la seule dorénavant subventionnée. Après quelques années de transition afin de renouveler l’humus et grâce à un usage généralisé d’eau dynamisée (en moindre quantité), de bien meilleurs rendements sont obtenus, pour un coût et un endettement réduit. Une banque agricole et les fabricants d’OGM font faillite. Pas grand monde ne les regrette car le pain est bien meilleur !
- Côté alimentation, les slogans quantitatifs sont abandonnés et les tableaux nutritionnels incompréhensibles remplacés par un code de trois couleurs : vert pour les aliments apportant de l’énergie et renforçant le terrain, orange pour les neutres et rouge pour la malbouffe délétère. Avec un taux de TVA distinct selon la couleur des produits, les magasins bio et les marchés deviennent les nouveaux hard-discount tandis que les grosses surfaces périclitent.
- La qualité de l’eau fait désormais l’objet de toutes les attentions. « A la limite, à quoi bon manger bio si mon eau n’est pas de qualité ? » Les normes de potabilité pour les Eaux Destinées à la Consommation Humaine (EDCH) sont complétées par les normes de la biocompatibilité, bien plus restrictives : une eau ne peut plus être trop minérale, alcaline ou oxydée. A l’exemple des villes précurseurs comme Amsterdam, Zurich ou l’Ile de France, les régies abandonnent ainsi progressivement l’usage du chlore oxydant… Immédiatement, la majorité des problèmes de peau disparaissent. De nombreux fabricants de cosmétiques chimiques font faillite « parce qu’ils ne valent rien ».
- Un appel au boycott est lancé contre les bouteilles en plastique. Les sources très minérales (au-delà de 500 mg/L) ne sont plus vendues que dans des bouteilles en verre et en pharmacie, sous supervision médicale.La plupart des magasins bio et de plus en plus de lieux publics sont équipés de sources d’eau biocompatibles, accessibles gratuitement pour le remplissage. De nombreux citoyens sont toutefois équipés de filtres et de dynamiseurs et retrouvent chez eux, sur un ou tous leurs robinets, une eau équivalente en énergie à une source de montagne. Les embouteilleurs se recyclent dans le yaourt.
- La BEV s’étend à l’international. Le premier congrès de la SIBEV (Société Internationale de Bio-Electronique Vincent) a lieu les 14 et 15 février 1976 à Königstein (RFA). Organisé par le Dr Pohlmann de l’Institut Max Planck, il rassemble cent vingt médecins, chercheurs et délégués officiels. Il consacre les résultats de mesures effectuées sur plus de soixante milles sujets. Note : fait véridique.
- La NASA américaine, reconnaissante pour les techniques simples employées pour mesurer la bonne santé de ses astronautes (sur le sang, l’urine et la salive) offre à Louis-Claude Vincent un voyage dans l’espace…
La Bioélectronique, la science qui dérange…
Cessons de rêver : regagnons la Terre et la réalité sous conflits d’intérêt…
« Le caractère scientifique dont se réclame la bio-électronique de Vincent n’est pas reconnu par la communauté scientifique ; la bio-électronique de Vincent fonctionnerait sur ce que le physicien français Sébastien Point, chroniqueur pour la revue Science et pseudo-sciences, qualifie d’“apparente scientificité”. Dans un autre article, le même auteur […] dénonce la naissance d’un “corpus pseudo-scientifique autosuffisant” », découvre-t- on sur Wikipédia à propos de Louis-Claude Vincent.
Alors, pseudo-science ou science qui dérange ? Le point de vue de M. Point est révélateur des pratiques (trop souvent) utilisées pour ridiculiser une démarche que l’on ne souhaite surtout pas comprendre. Étudier un minimum la BEV ou lire quelques livres sérieux était sans doute trop compliqué. Entre amalgames et grand n’importe quoi, le physicien - dans son article La bio-électronique : noyée dans un verre d’eau - reproche essentiellement à la Bioélectronique d’être expliquée (sur Internet) par des sites non scientifiques dont il sélectionne, hors contexte, les citations les plus caricaturales… pour caricaturer ! La BEV expliquée par des nuls ne peut être que nulle. La physique quantique devrait-elle également être rejetée en bloc parce que des néophytes se permettent d’en parler ? À suivre la démarche pseudo-scientifique de M. Point, c’est toute la science qui s’écroulerait…
Le physicien enfonce le clou dans une vidéo surréaliste : une présentation de la BEV au conditionnel pour ensuite, sans aucun argument ou démonstration, conclure que ce ne peut être vrai parce qu’il en a décidé ainsi, du haut de ses « 11 années d'études scientifiques universitaires, complétées par 10 ans d'exercice de Recherche appliquée, de management de R&D et d'expertise scientifique » (sic !).
Avec 431 vues en 5 ans, la vidéo n'est pas un triomphe de la pensée scientifique et les critiques l’emportent de fait sur les louanges : « Faire une vidéo sans AUCUN argument témoigne d'un sérieux manque d'électrons ;) et une absence d'émerveillement devant la complexité de la Nature » souligne avec humour un internaute, « Pensez vous connaître la Vérité? Quel gourou êtes-vous? Quel pouvoir surnaturel détenez vous pour être aussi sur de vous?? » demande une autre.
La science officielle du système – que nous devrions appeler plutôt « scientisme » ne veut pas entendre parler d’énergie car ni ses aliments ni ses remèdes n’en sont pourvus. Or, comme le disait Upton Sinclair, « Difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu’il ne la comprenne pas ».
Censurer la BEV, le cas Wikipedia
Si critiquer ne suffit pas, il existe une autre stratégie, encore plus extrême : ne plus en parler du tout ! La page Wikipedia consacrée à Louis-Claude Vincent a ainsi disparu fin 2022...
Comment une telle page peut-elle être soudainement supprimée ? Les coulisses de Wikipedia laissent heureusement des traces. Le 15 décembre 2022, un internaute lançait la procédure au motif qu’il n’avait « Pas identifié de sources secondaires d'envergure nationale centrées. » Une dizaine de livres au moins (du didactique au très scientifique) ont été publiées sur le sujet par des maisons d’édition indépendantes, sans parler des travaux du très scientifiques József Országh mais passons…
Le processus était lancé. Le débat – pour ou contre la suppression de l’article – durerait généreusement 168 heures soit 7 jours. Tout contributeur (de plus de 50 contributions) pouvait participer mais les contributeurs à l’article n’étaient curieusement pas prévenus. Après ce délai « un contributeur ayant réalisé au moins 500 modifications et ayant 3 mois d'ancienneté qui n'aura pas pris part au débat peut clore la proposition et indiquer si la page est conservée ou supprimée ».
Avec 2 voix contre et 4 voix pour – « ne répond pas aux critères, peu de sources, ne semble pas notoire », « Rien trouvé, sauf sur des sites de pseudo science », « Sources insuffisantes » ou encore « Aucune source secondaire centrée. » – l’article fut supprimé le 29 décembre 2022. Il ne répondait pas aux critères de Wikipedia ? Les règles d’admissibilité précisent pourtant « Le sujet doit avoir été l'objet principal d'un ouvrage publié à compte d'éditeur ». Rien trouvé ? 32 700 résultats sur Google apparaissent à la recherche « Bioélectronique »…
Le poids du conformisme et de la censure n’a jamais été aussi vivace tandis que le manque d’objectivité de Wikipedia est de notoriété pour tout sujet hors des sentiers battus du scientisme officiel. La disparition de cette page est-elle toutefois un mal ? J’y avais présenté les bases de la BEV mais, objectivement, Louis-Claude Vincent n’y était pas à son avantage...
Sur 1/3 de la page, Vincent y était en effet accusé d'être le « vulgarisateur du très nazi "Message d’Uppsala", un texte dont il était cité un large et en effet honteux extrait. Vincent était-il le rédacteur de ce texte ? Non ! Comment en aurait-il été le "vulgarisateur" ? Mystère... L'homme avait certainement des zones d'ombre mais l'objectif était de toute évidence ailleurs : accuser quelqu'un de racisme (en dépit de ses nombreux écrits où rien ne transparaît) afin de décrédibiliser ses recherches et découvertes... Le Point Godwin dégainé parce que la Bioélectronique dérange ! Pourquoi pas accuser Vincent de complotisme tant que l'on y est ?
Wikipedia ayant censuré, la pseudo "intelligence" artificielle peut trancher. A la question "Qu'est-ce que la Bioélectronique de Vincent ?", ChatGPT répond « La "Bioélectronique de Vincent" n'est pas une discipline médicale reconnue ou une approche thérapeutique établie. Je ne suis pas en mesure de trouver des informations fiables ou des données scientifiques pour soutenir cette méthode.» Les limites, certainement, de l’intelligence artificielle : l’absence de données (et évidemment de curiosité) vis-à-vis de tout ce qui n’est pas officiellement autorisé…
« Une porcelaine dans une boutique d’éléphants ! Voilà la définition populaire que je donne à la biologie électronique ; c’est pourquoi la “science” officielle [la] méprise », écrit José-A. Giralt Gonzalez.
La mesure de l’énergie en bioélectronique via les paramètres physico-chimiques de base
L’énergie primordiale de toute eau, aliment ou remède se mesure de la manière la plus simple qui soit (enfin presque) via des électrodes (correctement calibrées) :