Il n’y a aucune fatalité au stress ou aux pathologies – ni même d’ailleurs à la peur des virus – mais toute une série de malentendus à dépasser et de fondamentaux à respecter. Quelles sont les meilleures solutions écologiques pour renforcer son système immunitaire et naturellement mieux être ? Quelles sont les meilleures approches de l’écologie personnelle ? Surprises et solutions naturelles avec l’auteur du livre L’imposture du bien-être.
Renforcer son système immunitaire et mieux être en 3 minutes :
La maladie est toujours "la faute à pas de chance", n’est-ce pas ? En fait non ! La maladie est plutôt toujours le signe d’un dérèglement, un signal de l’organisme du fait d’une mauvaise écologie, qu’elle soit personnelle (mauvaise alimentation, manque d’hydratation, défaut d’activités physiques, stress…) ou sociétale (piètre qualité de l’eau, pollutions environnementales, médias anxiogènes, médecine allopathique,…), généralement un mix des deux. La génétique, sauf rares exceptions, une vraiment une piètre excuse !
L’homme est optimisé pour vivre centenaire (en relativement bonne santé) mais notre environnement délétère et nos multiples stress nous fragilisent. Il n'y a toutefois aucune fatalité : voilà près de 30 ans que je n’ai par exemple vu de médecin ou de médicament ! J’ai de la chance ? Non, je suis cohérent et je respecte autant que possible les fondamentaux ! Je tombe parfois malade mais je me soigne alors au naturel (typiquement huiles essentielles) – pour une fraction du coût de l’allopathie chimique – et je renforce au passage mon système immunitaire.
Bref, zoom sur les 8 fondamentaux à respecter pour mettre toutes les chances de son côté et préserver enfin sa santé et sa vitalité, au naturel !
1. Un air et une respiration de qualité :
Tout manque d’oxygène entraîne un effondrement du métabolisme et une augmentation du dépôt des toxines. Le problème n’est pas la teneur en oxygène de l’air ambiant (environ 21%) mais plutôt la mauvaise assimilation de celui-ci par nos cellules du fait des pollutions et du stress : l’hypoxie. A éviter : la peur, toujours mauvaise conseillère et le port du masque, le sport trop intensif (trop d’oxygène entraîne la création de radicaux libres et un vieillissement prématuré), les multiples polluants d’intérieur chimiques,… Solutions écologiques pour mieux respirer et mieux être dans le moment présent : toute forme de gymnastique douce (Yoga, Taiji Quan, Qi Gong,…), cohérence cardiaque ou autres exercices respiratoires en plein air, purification de l’air via un diffuseur d’huiles essentielles à verrerie et enfin, nec plus ultra, l’oxygénation cellulaire via le Bol d’Air Jacquier ou la technologie allemande Airnergy.
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Air :
Site internet de référence du portail mieux être : www.air-pur.ch Page internet plus moderne et concise : www.solutionsbio.ch Blog de l’écologie personnelle : Comment mieux respirer et optimiser son bol d’air quotidien
2. Une eau véritablement biocompatible :
Plus de 99% des molécules de nos cellules sont des molécules d’eau et la plupart des pathologies chroniques et des douleurs proviennent d’un défaut d’hydratation du fait d’une eau de mauvaise qualité, à l’exemple de l’eau du robinet, alcaline et oxydante car chlorée. A éviter : les eaux minérales en bouteilles plastique (minéraux non assimilables), les carafes ou fontaines filtrantes (prolifération microbienne), les systèmes sans dynamisation (eau trop "morte"), les solutions du marketing (avis subjectifs), les manipulations des régies, les eaux alcalines (contraires aux normes de la vie), les adoucisseurs à sodium (la pire solution),... Solutions écologiques pour enfin mieux boire et donc s’hydrater : filtration de base et cruche à vortex en solution budget ou, nec plus ultra, osmose inverse + dynamisation sur un point d’eau unique ou biodynamiseur pour l’ensemble d’une maison.
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Eau :
Site internet de référence du portail mieux être : www. eaunaturelle.ch
Page internet plus moderne et concise : www.solutionsbio.ch Blog de l’écologie personnelle : Plus de 60 articles dont comment, à partir de l'eau du robinet, filtrer et dynamiser correctement son eau...
Livre : La qualité de l’eau, Ed. Médicis, 2020
3. Une protection contre les ondes artificielles :
Nos cellules émettent des champs électromagnétiques et subissent les interférences des ondes artificielles pulsées de nos technologies sans fil. Les médias ont parlé du scandale de l’iphone12 mais ce sont en fait tous les téléphones qui sont concernées car les normes sont biaisées, ne serait-ce que parce que mesurées sur des mannequins en plastique ! De fait, les ondes des téléphones portables ont été classées comme "cancérigènes possibles"(2B) par le CIRC, branche de l'OMS, en 2011 et aucun assureur n’accepte de couvrir leurs effets…
A éviter : les appareils électriques dans la chambre, le Wi-Fi en permanence, le téléphone en se déplaçant, les portables pour les enfants, les oreillettes qui créent un faux sentiment de sécurité, les solutions gadgets sans tests biologiques sérieux,… Solutions écologiques pour mieux être en sécurité : éloigner, débrancher ou couper ce qui n’est pas indispensable, retrouver le contact du sol et de la nature et s’équiper de CMO, la référence scientifique.
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Ondes :
Site internet de référence du portail mieux être: www.protection-ondes.ch
Page internet plus moderne et concise : www.solutionsbio.ch Blog de l’écologie personnelle : Comment se protéger des ondes électromagnétiques et de la 5G ?
4. Une nutrition saine et naturelle de haute vitalité :
La nutrition est « la première médecine » selon Hippocrate et la plupart des maladies dites de civilisation – des cancers à l’obésité en passant par les allergies – ont en effet une cause alimentaire.
A éviter : les aliments industriels raffinés (sucre, sel, pain blanc,...), les produits pasteurisés, les produits light, la viande d’élevages concentrationnaires, la cuisson au micro ondes ou à trop haute température,...
Solutions écologiques pour un mieux-être nutritionnel: les aliments les plus complets, les plus frais et les plus bio possibles, la cuisson douce à l’étouffé pour préserver les vitamines et le goût des aliments; manger moins et notamment moins de viande...
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Nutrition :
Site internet de référence du portail mieux être : www.nutriwell.ch
Page internet plus moderne et concise : www.solutionsbio.ch Blog de l’écologie personnelle : Les 3 meilleurs conseils nutritionnels (dont les experts ne parlent jamais)
5. Un mental serein, confiant et joyeux :
Le subconscient n’est pas difficile et accepte tout aussi facilement les messages positifs que négatifs. Le problème est que les médias multiplient les horreurs et les fake news en donnant du monde une image bien plus dégradée que la réalité. Sur une page blanche, c’est le point noir qui saute aux yeux !
A éviter : les mauvaises nouvelles des médias, le sensationnel, le dénigrement, l’obsession de la performance, le besoin de sonder des problèmes imaginaires...
Solutions écologiques pour le mieux-être mental : se changer les idées, retrouver le contact avec la nature, s’informer via des livres, reprogrammer son inconscient via l’hypnose éricksonienne et les lunettes de relaxation Psio...
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Mental :
Site internet de référence du portail mieux être: www.psychowell.ch
Page internet plus moderne et concise : www.solutionsbio.ch Blog de l’écologie personnelle : Comment utiliser l’hypnose ericksonienne chez soi et naturellement mieux Être ?
6. Des soins au naturel avec notamment l’aromathérapie :
Les huiles essentielles (HE) sont les substances actives les plus puissantes au monde avec en moyenne une centaine de molécules actives (contre une seule pour le médicament de synthèse) et aucun effets secondaires aux doses physiologiques.
A éviter : se précipiter sur son armoire à pharmacie (chimique) au moindre signal de l’organisme, acheter une Bible des huiles essentielles et ne plus rien y comprendre, se lancer dans des recettes alambiquées, ne pas respecter la puissance des HE,…
Solutions écologiques pour mieux être en forme: étudier les actions et posologies d’une vingtaine huiles essentielles principales et opter pour les recettes simples et de bon sens
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Aromathérapie :
Site internet de référence du portail mieux être: www.aromatheque.ch
Page internet plus moderne et concise : www.solutionsbio.ch
Livre : Le choix des huiles essentielles, Ed. Jouvence, 2014
7. Des activités physiques extérieures :
Se bouger en pleine nature est toujours bénéfique, si l’on ne se trompe pas de cadence ou d’extérieur… Au-delà des folles trépidations de la jeunesse, les sports d’endurance sont à privilégier sur l’obsession de la performance sachant que les sportifs de haut niveau se retrouvent le plus souvent épuisés dès la trentaine. Courir dans une salle climatisée ou aux abords d’une route congestionnée n’est pas non plus une bonne idée, la qualité de la respiration demeurant primordiale, retour au fondamental N°1 !
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Activités :
Site internet des ouvrages mieux-être et contentement personnel : www.lemendiant.fr
Livres : L’obsession de la performance, Le choix de la sérénité,…
8. Les sens de la vie :
La loi de la jungle n’est pas une loi naturelle chez l’homme. Complètement vulnérables à notre naissance, nous n’aurions aucune chance de survie sans le soutien des autres. Sans collaboration, l’humanité n’aurait jamais connu de progrès ou de civilisation. Les sens de la vie n’est ainsi pas d’être contre mais avec les autres et de développer trois approches de base : le sens de l’utilité, le sens de l’humour et le sens de l’amour. Pour en savoir plus sur les solutions écologiques Sens :
Site internet des ouvrages mieux-être et contentement personnel: www.lemendiant.fr
Page internet plus moderne et concise : www.solutionsbio.ch
Livres : Les sens de la vie (e-book), Les sens du Tao, L’imposture du bien-être,…
En savoir beaucoup plus sur les solutions écologiques pour mieux être et renforcer son système immunitaire
La maladie a beau être l’affection au monde la plus partagée, elle n’en demeure pas moins une anomalie de parcours, un malentendu au regard de la nature humaine : à l’exception des personnes touchées génétiquement, l’être humain, comme toutes les autres créatures d’ailleurs, est optimisé pour naître et rester en bonne santé !
Pourquoi tombons-nous dans ce cas si facilement malade ? Eh bien dans la plupart des cas parce que l’organisme doit se défendre face à un environnement et une alimentation de plus en plus polluée et anxiogène. La maladie est considérée par les naturopathes comme un message de l’organisme afin de signaler un dérèglement… et il y a aujourd’hui l’embarras du choix !
Certes, nous vivons plus vieux et subissons donc naturellement davantage d’agressions. Mais comment expliquer que les maladies de civilisation touchent de plus en plus de jeunes enfants ? C’est principalement à l’hygiène (qui a fait chuter la mortalité infantile) et à l’amélioration de certaines conditions de travail (chez les ouvriers notamment) que nous devons l’allongement moyenne de l’espérance de vie mais nous avons globalement moins de centenaires aujourd’hui que dans le passé...
Il est facile de comprendre pourquoi en étudiant le cas des paysans. Il y a un ou deux siècle, notre brave agriculteur passait le plus clair de son temps au grand air, travaillait du lever au coucher du soleil, mangeait frugalement les produits complets de sa ferme et était respecté par ses concitoyens comme pilier de la communauté. Aujourd’hui, nos non-moins sympathiques agriculteurs passent leurs journées dans des cabines climatisées, travaillent (toujours autant) pour leur banque au remboursement de leurs emprunts, se sont spécialisés au point de ne parfois même plus avoir de potager et jonglent tellement avec les pesticides qu’ils sont stigmatisés comme étant les premiers pollueurs de la planète. Mauvaise qualité de l’air, stress, malbouffe, produits chimiques et dévalorisation se combinent et expliquent pourquoi la profession connaît le plus grand taux de suicide : où est donc passée la qualité de vie ?
Reprenons à nouveau les 8 fondamentaux du mieux-être. De quoi avons-nous besoin pour renforcer notre système immunitaire et rester ainsi en bonne santé tout en participant concrètement à la sauvegarde de notre nature ?
1. Un air de qualité :
La qualité de l’air est le principal risque environnemental pour la santé dans le monde avec plus de 5,5 millions de morts tous les ans dont 500 000 en Europe. La mortalité des abeilles et autres insectes aurait du depuis longtemps sonner l’alerte et conduire à l’interdiction d’un certain nombre de pratiques, de pesticides… et de lobbyistes !
Les pics de pollutions sont médiatisés mais les solutions concrètes peinent à se mettre en place afin de ne pas trop impacter la croissance. La pollution de l'air entraîne pourtant 100 millions de jours de congés maladie par an…
L’air extérieur relève globalement du vent de la politique mais l’air intérieur – de nos habitats – est de notre ressort et cela tombe bien car il est parfois dix fois plus pollué ! En cause, les désodorisants (chimiques) d’intérieur, les produits ménagers, les meubles en agglomérés, les moquettes et autres animaux de compagnie aspergés d’anti-puces. Ouvrir régulièrement ses fenêtres et faire la chasse aux polluants d’intérieurs est le premier geste écologique pour la santé et la vitalité de sa famille. L’objectif est de réussir à correctement oxygéner ses cellules, la définition en médecine ou en biologie du terme « respiration » !
Actions politiques (hors interdictions ou taxes citoyens) : parkings gratuits aux abords des villes (pour les conducteurs pratiquant le covoiturage ?), gratuité des transports en communs, habitats à loyer modéré dans les villes afin d’éviter les fuites vers les banlieues, taxation du kérosène (aviation) et du fioul non domestique (paquebots), rétablissement des trains de nuit, tarif du train plus compétitif que l’avion (passagers) ou le routier (marchandises),…
Actions individuelles de mieux-être : boycott de la chimie d’intérieure, aération, suppression de la climatisation, diffusion d’huiles essentielles, purification pro de l'air, exercices respiratoires, oxygénation cellulaire Airnergy ou Bol d'air Jacquier.
2. Une eau de qualité :
L’eau représente plus de 99% des molécules de nos quelque 100 000 milliards de cellules… mais les médecins n’y sont pas formés ! Nous devons boire au minimum 1,5 litre par jour mais l’ajout de chlore au nom de la lutte contre les vilaines bactéries arrive presque à nous dégoûter de l’eau. Résultats ? Une déshydratation chronique et une sécheresse cutanée, au bénéfice des médecins et de l’industrie cosmétique.
Les eaux en bouteille ne sont pas davantage recommandables du fait d’une teneur en minéraux généralement beaucoup trop élevée. Hétérotrophe, l’homme ne peut correctement assimiler les minéraux des eaux – nous devons passer par les végétaux – et il doit les éliminer via un surtravail des reins, le fameux « buvez éliminez » de la publicité. La pollution du plastique est en prime.
La solution passe par une filtration et restructuration de l’eau du robinet afin de lui redonner des propriétés biocompatibles et une énergie vitale. L’objectif est de boire avec plaisir suffisamment d’eau pour nettoyer son organisme et hydrater ses cellules. Nous sommes mal en point car nous maltraitons l’eau. Améliorons enfin sa qualité et nous irons tous beaucoup mieux !
Actions politiques: former correctement les médecins à la qualité de l’eau, dire la vérité sur le chlore, l’ozone et les minéraux, orienter vers les meilleurs systèmes de filtration et de dynamisation afin de pouvoir enfin se passer du plastique,…
Actions individuelles de mieux-être: se renseigner, investir dans un système de filtration et de dynamisation, boire enfin avec plaisir suffisamment d’eau, remplir gratuitement ses bouteilles en verre à la source !
3. Une protection contre les ondes électromagnétiques
Nous vivons tous dans le brouillard d’un électrosmog permanent et cela n’est pas prêt de s’arranger avec l’arrivée de la 5G, en dépit de la demande – scientifique et citoyenne – d’un moratoire.
La nocivité des ondes est avérée via plus de 20 000 études indépendantes (les études financées par l’industrie sont plus circonspectes), un classement 2B « peut-être cancérigène » par le CIRC et l’absence de prise en charge des effets des ondes par l’ensemble des assurances.
Tous les êtres vivants sont perturbés par les ondes artificielles pulsées mais, chez l’homme, les symptômes ne se sont pas encore généralisés. Tout juste note-t-on un décrochage de la capacité de concentration et de mémorisation des jeunes ainsi qu’une qualité de sommeil en berne. Avec un « effet de seuil », de plus en plus de personnes basculent par contre du côté obscur et deviennent électro-sensibles, maladie aux multiples symptômes invalidants, acceptée comme maladie professionnelle depuis janvier 2019.
L’impact extérieur relève de l’irresponsabilité politique via le déploiement de la technologie au nom du progrès mais il est déjà possible de diminuer les doses émises à l’intérieur de son habitat voire de sanctuariser sa chambre à coucher. De nombreuses solutions technologiques ou illogiques sont disponibles mais seule une protection biologique – aux effets attestés par des tests biologiques – est à même de dépasser l’effet placebo.
Actions politiques: appliquer le principe de précaution, lancer des études véritablement indépendantes, prendre comme norme des mesures biologiques et non thermiques (mesurées sur des mannequins en plastique), s’inspirer des normes les plus contraignantes d’autres pays, former correctement les médecins aux ondes artificielles,…
Actions individuelles de mieux-être : se renseigner, refuser le Linky®, limiter l’usage du téléphone (notamment chez les jeunes), éviter le micro-ondes et les plaques à induction, boire une eau de qualité faiblement minéralisée , couper le Wi-Fi de nuit, se protéger avec une protection biologique qui a des preuves et a fait ses preuves,…
4. Une alimentation saine :
A la fois « Première médecine » selon Hippocrate et première cause de mortalité non environnementale, notre alimentation est liée à notre vitalité. Apathie et baisse globale des performances physiques sont ainsi les premiers symptômes d’une malbouffe caractérisée par des calories vides, des additifs chimiques imprononçables et des arômes artificiels en pagaille. La gastronomie française est entrée au patrimoine mondial de l’humanité mais elle sortie depuis longtemps de nos cuisines… voire de la majorité de nos restaurants !
La solution la plus rapide pour changer de vie est de changer de crèmerie. Plus il y a de rayonnages et plus il y a de tentations et risques de se perdre. Plus il y a de choix et plus nous sommes sous influence publicitaire. Caddie® la pub déjà ?
Le Bio n’est pas exempt de scandales mais reste beaucoup plus logique si l’idée est d’aller à l’essentiel, de gagner en pouvoir de choix et d’achat ou encore d’être écologique.
Acheter des produits sains, autant que possible bruts non transformé, local et de saison est une chose, les cuisiner correctement une autre. L’objectif est de préserver à la fois les enzymes-vitamines – qui disparaissent à partir de 55-60°C – et le goût des aliments. Exit donc le micro ondes, les plaques chauffantes, le four et même la cuisson vapeur, pas si douce que cela puisque l’eau (la plus souvent chlorée et polluée) boue à partir de 90°C. La cuisson à l’étouffée avec contrôle strict de la température est ce qui se fait de mieux pour le cuit.
Le cru devrait représenter au moins 1/3 de nos aliments, sans dépasser plus de la moitié afin de ne pas créer de désordres digestifs. On puisera ses fibres, ses vitamines et globalement son énergie de base dans les fruits, les légumes, les algues, les graines germées, les oléagineux, etc. On les choisira bio et (le cas échéant) lavés à l’eau de qualité. On les assaisonnera (autre cas échéant) avec des huiles végétales bio à dominance oméga 3. On consommera le cru idéalement au petit-déjeuner et en dehors des repas afin de ne pas perturber la digestion et on prendra le temps et la conscience de bien mastiquer.
Tous les autres conseils de nutrition sont globalement anecdotiques par rapport à ces quelques règles de base. Qui a dit qu’il était compliqué ou coûteux de s’alimenter correctement ?
Actions politiques: informer des scandales de l’agro-alimentaire, stopper toute subvention en faveur de la malbouffe (des agriculteurs productivistes jusqu’aux hypermarchés), baisser la TVA des produits sains, éduquer les enfants à l’alimentation de qualité,…
Actions individuelles de mieux-être: retrouver le chemin du petit magasin bio et/ou du marché local puis de la cuisine, c’est le bon sens ! Manger moins mais de meilleure qualité, utiliser des ustensiles de cuisson douce,...
5. Une relative sérénité :
Le stress et l’obsession de la performance sont, en Oxydant, la première cause de visite chez le généraliste. Les différentes pollutions environnementales y contribuent naturellement mais l’amont est rarement pris en compte dans le monde de l’entreprise au grand bénéfice, en aval, des coaches et autres gourous mental des ressources humaines.
Il est pourtant difficile de s’adresser au mental si l’organisme est en souffrance ou en manque de vitalité. La qualité du sommeil est ainsi primordiale et passe par une limitation des écrans, une attention aux fondamentaux et un relatif vide mental. Au-delà de la méditation, de nombreuses approches plus ou moins technologiques permettent un relâchement quasi-immédiat et sans effort.
La peur est par définition anxiogène et pousse à la consommation et c’est pourquoi elle domine les médias... Les mauvaises nouvelles sont spectaculaire car « extra-ordinaires » c’est-à-dire sortant de l’ordinaire : le mental est focalisé sur le point noir de la page blanche… La violence physique est désormais globalement absente de nos vies et c’est pourquoi les palliatifs jeux vidéo de guerre ou films d’action ont autant de succès... Et si nous changions de perspectives ?
De manière plus existentielle, la sérénité vient également du sentiment du devoir accomplis et de l’impression de faire de son mieux, dans le bon sens, en accord avec ses valeurs. L’acceptation que l’on ne peut changer ou contrôler ce qui advient – « chance, malchance, qui sait ? » – permet également d’envisager l’avenir sans se gâcher le présent, le cadeau le plus écologique qui soit.
Actions politiques: orienter les médias publics vers le réfléchis, le constructif, les bonnes nouvelles et les comédies musicales, retravailler le classement des films/séries par tranches d’âges, filtrer sur internet l’accès des jeunes à des contenues malsains ou pornographiques,…
Actions individuelles de mieux-être: faire un jeûne médiatique et observer comment l’on se sent beaucoup mieux, établir un ratio d’au moins deux films/séries "positifs" pour chaque film/série de violence, privilégier les magazines sur les quotidiens ou les journaux télévisés, relativiser ce qui va mal dans le monde par rapport au nombre d’associations humanitaires et à tout ce qui fonctionne, utiliser les meilleures technologies de relaxation,...
6. Des soins au naturel
Le médecin n’est naturellement pas le mieux placé pour maintenir en bonne santé : il n’intervient que quand nous sommes déjà malades ! Il n’a en outre reçu aucune formation pour remonter aux causes des pathologies et n’a financièrement et socialement aucun intérêt à renforcer le système immunitaire de ses patients.
Les soins au naturel ne sont pas la panacée universelle et la formation des "thérapeutes" laisse le plus souvent à désirer mais le corps possède une sagesse et des ressources insoupçonnées. Le reposer et lui redonner de l’énergie permettent déjà de soulager bien des troubles. En symptomatique, rares sont également les pathologies à résister à la puissance des huiles essentielles (HE) : une goutte possède autant de principes actifs que 100 litres de tisanes et en moyenne une centaine de molécules naturelles contre une seule molécule (chimique) pour le médicament de synthèse. Médecins et pharmaciens se démènent ainsi pour limiter leur diffusion, à coup de mises en gardes ou de recettes alambiquées inefficaces ou dangereuses. Si les symptômes persistent, vous consulterez en effet votre médecin… au détriment alors de l’écologie : 1kg d’antibiotique « contre la vie » requiert 1 million de litres d’eau !
S’il est hors de question d’interrompre une prescription en cours sans avis médical, la question devrait se poser pour chaque nouvelle pathologie : le chimique pour vite aller mieux et reprendre ses mauvaises habitudes ou le naturel pour – généralement – aller tout aussi vite mieux mais sans impact sur la flore intestinale et le système immunitaire? La médecine dite moderne est globalement inefficace pour les afflictions courantes et il serait de bon sens de commencer par là. Selon le Dr Valnet, si 5 à 6% des malades devaient utiliser les « thérapeutiques les plus puissantes même si elles peuvent être nocives » 94 à 95% des autres pathologies avaient « toutes les chances d'être améliorées considérablement ou guéries par des thérapeutiques naturelles, avec les plantes bien sûr, en traitement de fond ou même en traitement exclusif. »
Actions politiques: mieux rémunérer les médecins afin de les encourager à faire de la prévention et, tant que l’on y est, les former enfin correctement afin qu’ils soient capables de faire de la prévention !
Actions individuelles de mieux-être: lire notre livre Le choix des huiles essentielles (Ed. Jouvence), se renseigner sur la dangerosité des médicaments et des vaccins, prendre sa santé en mains grâce au naturel, faire le tri et de la place dans sa pharmacie, faire confiance à sa nature,…
7. Des activités physiques extérieures :
Connaissez-vous la différence de longévité entre le guépard et la tortue ? 13 ans pour le premier, de 50 à 200 ans pour le second. Le premier est un grand sportif, obligé de sprinter pour attraper ses proies: cet effort musculaire intense consomme beaucoup d'oxygène et génère un important stress oxydatif. Comme la majorité des sportifs de haut niveau, il brûle sa vie par les deux bouts, au détriment de sa longévité... La tortue quant à elle, fidèle à sa réputation dans la fable (avec le lièvre), suit son bonhomme de chemin tout en respirant tranquillement... et remporte la course sur la longue distance!
Le sport est certainement bon pour la santé mais pas tous les sports et pas à n’importe quelle dose. Chimie et substances mises à part, la nocivité du sport se traduira surtout par des problèmes osseux ou musculaires. Chez les femmes, la perturbation des règles ou leur absence – l’aménorrhée – toucherait jusqu’à 60% des sportives de haut niveau (contre 2 à 5% pour l’ensemble de la population), avec des proportions différentes selon les sports pratiquées : quasiment toutes les adolescentes gymnastes, 65 à 75% des cyclistes ou 30 à 40% des jeunes nageuses. Et c’est ainsi que la cycliste Cathy Marsal se retrouva à 29 ans avec le squelette d’une femme de 75 ans… Il y a aussi des problèmes respiratoires : une étude suisse a démontré que les athlètes professionnels seraient aussi touchés 144 fois plus tôt par l’asthme que le reste de la population. Sans oublier les fameux radicaux libres responsables du vieillissement : ceux-ci se forment dès qu’il y a utilisation d’énergie (digestion, sport ou simple respiration). Outre une alimentation équilibrée, l’organisme dispose de défenses antioxydantes naturelles. Si celles-ci sont stimulées par la pratique modérée du sport, il n’en va pas de même lors des efforts physiques intenses : les défenses de l’organisme ne sont alors pas suffisantes pour gérer le surplus de production de radicaux libres et il y a alors risque de vieillissement accéléré. La question du stress est généralement abordée sous l'aspect de la psychologie mais les sportifs de haut niveau soumettent clairement leur organisme à un stress et des tensions délétères. Point trop n'en faut! "Mieux vaut se recentrer et viser le juste milieu " diraient Lao Zi ou les bouddhistes: pas de sport trop intensif mais pas de sédentarité non plus !
Actions politiques: équiper les parcs d’équipements sportifs doux, cesser la folie des confinements et inciter au contraire les citoyens à sortir de chez eux, veiller à une juste répartition de l’espace public entre les piétons et les roues.
Actions individuelles de mieux-être: sortir marcher tous les jours, monter les marches, s’adonner à des exercices respiratoires au grand air, ne pas faire de sport en boîte mais à l’extérieur, privilégier les sports d’endurance, ne pas aller au-delà de l’essoufflement à partir d’un certain âge,…
8. Les sens de la vie :
Le bien-être, apprêté à toutes les sauces, est le plus souvent une jouissance superficielle. Le bien-être réduit aux seules dimensions du plaisir ou de la consommation est trop volatile pour justifier un quelconque attachement et c’est pourquoi nous parlons de mieux Être.
Si les anciens nous prescrivent de suivre la vie la meilleure, et non la plus agréable, c’est afin que le plaisir soit le compagnon, non le guide, d’une volonté saine et droite. Car c’est la nature qui doit être notre guide. (Sénèque)
Le mieux-être requiert du poids, du caractère et une dynamique : il s’ennuie de la futilité, de la routine et de la vulgarité. Le mieux-être est dans la tête mais aussi dans l’action et la non-action: il convient de l’alimenter au quotidien, de le sortir régulièrement afin de l’oxygéner.
Sortir, mais pour aller où ? Chacun est évidemment libre de ses choix et de ses intersections mais, dans une optique de contentement durable, il est acquis que le mieux-être apprécie les chemins qui vont en direction des autres. « Si je veux que ma vie ait un sens pour moi, il faut qu’elle en ait pour autrui » a écrit Georges Bataille. Un mieux-être égoïste ou égocentrique moisira rapidement.
Actions politiques: les politiques n’ont pas de rôle à jouer en matière de réflexions personnelles mais ils devraient tout de même veiller à ne pas créer un climat trop confus ou anxiogène, par exemple en interdisant les chaînes d’information en continue et en réglementant la publicité dans les espaces publics.
Actions individuelles de mieux-être: prendre régulièrement du temps pour soi et pour sa réflexion : où suis-je et où est-ce que je souhaite aller pour aller vraiment mieux? Il n’est en fait pas tant question de localisation que de réalisations. Il s’agit moins d’aller dans le bon sens que de tourner (fonctionner) dans le bon sens : le sens de la vitalité, de l’utilité, de la générosité, de la simplicité, de l’humour et de l’amour. Il y a du travail mais c’est un travail personnel, pour soi, en soi, qui se révèle au final être plutôt un plaisir, celui de mieux être au monde jusqu’à finir par enfin se retrouver.
De la théorie à la pratique des fondamentaux ?
Comment concrètement mettre en place ces 8 fondamentaux du mieux être ? Certains sont très simples puisqu’ils requièrent juste un équipement adéquat : boire une eau agréable est beaucoup plus facile que de boire de l’eau chlorée ! Il convient évidemment de se poser la question et de trouver (en nous contactant) le dispositif adapté mais ensuite, c’est fait et on peut passer à autre chose !
Cela revient trop cher de s’équiper ? On peut obtenir un bon système de traitement de l’eau pour le prix de deux paires de basket de grosses marques ou d’un appareil émetteur d’ondes donc la question du prix doit-être abordée différemment : quelles sont mes priorités en matière de santé et de vitalité ?
A défaut de technologie, il conviendra de changer ses habitudes ce qui prendra forcément un peu plus de temps et d’effort. A défaut d’investir dans un appareil d’oxygénation cellulaire, je vais aller respirer quotidiennement dehors ; à défaut de m’équiper contre les ondes, je vais sanctuariser les chambres ; à défaut de cuisson douce, je vais rajouter du cru à mon alimentation…
Prendre sa santé et sa vitalité en mains requiert un temps de réflexion et d’action mais cela procure une telle énergie en retour que l’investissement est toujours rentable. Mais tout cela commence par une prise de conscience (la lecture de cet article jusqu’ici est plutôt bon signe) et personne ne peut le faire à votre place.
C’est le paradoxe (ou la difficulté) de l’écologie personnelle : avant de pouvoir préserver son énergie, il convient d’en avoir encore suffisamment pour se réveiller et prendre les bonnes décisions et directions ! Suivre les directives du système, de la peur et de la CONsommation permet de continuer à dormir et de se rêvasser en victime: « ce n’est pas de ma faute, je subi » Eh oui, « celui qui fait ce qu’il a toujours fait continuera de vivre ce qu’il a toujours vécu »…
De ce point de vue, la crise politico-sanitaire liée au Covid19 (plus politique et médiatique en réalité que sanitaire) s’est révélée excellente pour nous sortir de notre routine et de notre confort. Non, les fondamentaux ne sont pas dans les directives sanitaires. Oui, une autre qualité de vie est possible, au-delà d’un travail sans aucun sens. Non, la peur n’a jamais été bonne conseillère. Oui, je suis le seul responsable de ma liberté et je peux faire le choix, aujourd’hui même, d’utiliser cette liberté pour optimiser ma santé et ma vitalité !
Pour en savoir plus sur les solutions écologiques et les 8 fondamentaux de la vitalité et du mieux-être
Le portail mieux-être de référence : www.lemieuxetre.ch Le site (plus moderne) des solutions écologiques : www.solutionsbio.ch
Le site internet des ouvrages mieux-être et contentement personnel : www.lemendiant.fr
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