Pourquoi et comment dynamiser l’eau ?
Dernière mise à jour : 23 juin 2022
La dynamisation ou restructuration de l’eau est la seconde étape de tout traitement de l'eau, celle dont le gros commerce ne parle jamais… et qui dérange beaucoup de monde. Pourquoi est-il essentiel de dynamiser l’eau et comment y parvenir sans prise de tête ? Quelques surprises et éléments de réflexion avec l'auteur du livre La Qualité de l'eau (Ed. Médicis, 2020)
Alternativement sur le sujet: Vidéo Impact (2'43) Voir également la page pratique solutionsbio.ch : Dynamiser l'eau

Pour vous repérer facilement dans l'article :
Le point sur la question en 2 minutes chrono
Les techniques de dynamisation à éviter ou à envisager avec précaution
Les techniques de dynamisation à tester avec patience et ressentis
Les techniques de vitalisation de l’eau immédiates
Les techniques de dynamisation liées au récipient et aux ondes de formes
Les carafes ou gourdes dynamisantes
L'approche Schauberger : les dispositifs à vortex !
L’approche Bignand / Marcel Violet : l'énergie cosmique !
L’eau hydrogénée anti-oxydante
Le nec plus ultra : copier la nature en synergie !
Liens pour en savoir encore plus
Dynamiser l’eau en 2 minutes chrono :
Filtrer c'est-à-dire enlever physiquement les polluants de l'eau du robinet est important sinon indispensable (notamment vis-à-vis du chlore). Réagencer les molécules d’eau afin d’en éliminer l’information "pollution" est déroutant mais tout aussi primordial. « Tout est énergie », disent les physiciens quantiques, et cela signifie : « Tout est information ».
L’eau changerait de structure (agencement des molécules d’eau entre-elles via la "liaison hydrogène") 1000 milliards de fois par seconde. Or l’information de base imprimée dans l’eau est mauvaise sinon désastreuse : polluants, mauvais traitements, dégoût même parfois au moment de la boire… L’information qui nous parvient au travers de l’eau est généralement catastrophique.
Dynamiser, (ré)informer, (re)vitaliser ou (re) structurer l’eau sont autant de termes qui renvoient finalement au même objectif : retrouver autant que possible les propriétés de l’eau au naturel afin de la rendre véritablement biocompatible et donc agréable à boire. Plusieurs approches sont à notre disposition pour dynamiser l’eau :
Remuer ou agiter l’eau, via notamment le mouvement de vortex (de force centripète).
Exposer l’eau à l’énergie du soleil (infrarouges), à des rayonnements magnétiques adéquats ou à des minéraux spécifiques (Pierre de lave volcanique, Marbre de Carrare, Céramique informée,...)
Envoyer à l’eau des messages énergétiques positifs (mots, symboles, musique, matière du récipient, cristaux,…)
Rajouter dans l’eau quelques gouttes d’une substance vitalisante (citron bio, vinaigre bio, sérum de Quinton,…)
Chacune de ces approches permet – si l’on est de bonne foi – de constater rapidement une différence énergétique sous la forme d’une eau plus douce et plus soyeuse, moins râpeuse, plus agréable à boire, nettement plus hydratante…
L’important en matière de dynamisation de l’eau est de suivre le bon sens… et la nature, selon le principe de Viktor Schauberger : « Observer, comprendre et copier la Nature ». Dans la nature, l’eau n’est pas violemment secouée, soumise à de trop puissants aimants ou vortexée via une force centrifuge par exemple.
Toutes les solutions ne sont donc pas forcément bénéfiques et toutes ne fonctionnent pas aussi bien. Il est possible de tenter ses expériences ou de recourir à la technologie avec, pour le meilleur système (le Biodynamizer), jusqu’à 21 principes de dynamisation en synergie. Alors, nous retrouvons le plaisir de boire et bénéficions enfin d’une hydratation de qualité !
Encore mieux comprendre comment dynamiser l’eau (+15 mn) :
Qu’est-ce qui est très discret dans les médias, absent des rayons des grandes surfaces, globalement nié par la communauté scientifique, parfois indétectable par les mesures physico-chimiques classiques et pourtant susceptible de modifier intégralement notre vision de l’eau ? La réponse vous la connaissez désormais : la dynamisation de l’eau ! L’expérience Avant-Après ne prend que quelques minutes mais elle dérange les certitudes. Tant pis pour les sceptiques : personne ne peut perdre leurs préjugés à leur place !
L’idéal serait naturellement de pouvoir se passer de technologie mais c’est à cause de la technologie que notre eau a été dénaturée et c’est le plus souvent par elle qu’elle retrouvera le meilleur de sa vivacité.
Les techniques de dynamisation à éviter ou à envisager avec précaution
Plusieurs approches sont possibles sans ou en complément d’appareils… mais commençons déjà par ce qui ne fonctionne pas aussi bien pour dynamiser l’eau ou requiert quelques précautions ou tâtonnements.
Secouer l’eau : s’il convient de se secouer un peu pour la qualité de l’eau, on évitera de secouer l’eau polluée au risque, selon le principe de la succussion de l’homéopathie, d’imprégner encore davantage l’eau d’informations « polluants ». Secouer de l’eau propre permettrait de la charger en oxygène et de lui rendre de la vivacité mais notre préférence va aux mouvements souples et naturels, à l’image de son cheminement dans la nature. L’eau a déjà subi suffisamment de violence comme cela…
Soumettre l’eau à des aimants trop puissants : la terre émet des pulsations magnétiques mais vous ne trouverez pas d’aimant dans le lit d’une rivière. Les aimants sont utiles pour la gestion intelligente du calcaire mais ils ne devraient pas être considérés comme approche unique de dynamisation car ils produisent une « énergie lourde » manquant de subtilité. Même constat pour tous les procédés ne reproduisant pas les fréquences de la nature. On retrouve par contre des aimants, subtilement calibrés et positionnés, dans les meilleurs systèmes de dynamisation de l’eau.
Placer des pierres dans l’eau : la lithothérapie est une approche énergétique très puissante mais n’importe quelle pierre ne devrait pas être placée dans n’importe quelle eau sans un minimum de recul : qualité, propreté, provenance, charge énergétique, prolifération microbienne à température ambiante… Une meilleure approche est d’utiliser un seul cristal ou pierre (semi-)précieuse, idéalement isolée de l’eau via un tube en verre. On ne peut se tromper avec du cristal ou du quartz de qualité.
Placer de la shungite dans l’eau : la shungite, « énergie de vie », est une pierre parée de toutes les vertus énergétiques. Dans la nature, l’eau ne retrouve la shungite qu’à un seul endroit, dans le nord-ouest de la Russie, près d’un village appelé Shunga, pour des propriétés forcément très spécifiques. Les solutions de shungite dans l’eau étaient appelées « eaux de Mars » à l’époque du tsar Pierre le Grand (1672-1725) : une eau extraterrestre ? Cette pierre unique contient du carbone organique dans des proportions allant de 50 % à 98 %, et divers autres éléments dont, pour apparemment certains échantillons, de la radioactivité plus ou moins naturelle… Certaines personnes se sentent mal au contact ou à proximité de la très spécifique shungite et cela devrait déjà inciter à se montrer prudent. Consommer de l’eau de shungite ne doit ainsi être envisagé qu’en complément d’une eau de consommation courante et en surveillant son ressenti. À noter, enfin, que le mode d’emploi précise de laisser les 100 g de pierre trois jours au contact de l’eau… ce qui n’en fait donc pas le système de dynamisation de l’eau le plus rapide…
Les techniques de dynamisation à tester avec patience et ressentis :
L’eau a le temps pour elle et certaines approches requièrent également du temps et un certain doigté afin de dynamiser correctement l’eau.
Solariser l’eau : l’eau sort dépressive de son long cheminement dans le noir et un petit bain de soleil lui redonnera un peu de vitalité. Le chercheur américain Gerald Pollack a mis en évidence l’affinité de l’eau avec la lumière en général et les infrarouges en particulier. Dans une optique énergétique, une bouteille en verre teinté sera utilisée, du bleu profond par exemple. La météo doit être clémente mais le plein soleil n’est pas nécessaire et les rayons directs pourraient même être contre-productifs si l’eau se retrouve chauffée. Le lever du soleil correspond à un optimum énergétique. Le laps de temps nécessaire à l’expérience est également sujet à caution (et à l’ensoleillement) : de quelques minutes selon certains à au moins trois heures pour d’autres.
Apposer un mot sur un récipient ou lui faire écouter de la musique : les principes de Masaru Emoto sont séduisants en théorie mais un peu plus difficiles à mettre en pratique : il fallait à Emoto une journée pour obtenir un résultat avec un mot et trente minutes avec de la musique classique… mais pas systématiquement ! Hors laboratoire et dans un contexte familial, l’eau sera également sensible à toutes les perturbations extérieures. Bref, cela ne peut pas faire de mal et c’est gratuit mais cela ne sera pas spectaculaire… même avec les mots « merci » ou « gratitude », les plus puissants selon l’artiste japonais. Côté musique, on évitera le hard-rock pour privilégier les approches « pastorales ».
Faire couler ou tourbillonner l’eau : l’eau, engourdie par son périple, apprécie le mouvement : en faisant de l’exercice, elle s’oxygène et se renforce. Transvaser de l’eau dans deux récipients un peu distants – à l’exemple du service du thé à la menthe dans les traditions musulmanes – lui rappellera ses expériences de cascade. Imprimer des vortex (dans un sens puis soudain dans l’autre) dans l’eau à l’aide d’une baguette ou d’un manche de cuillère en bois lui remémorera l’aventure de la rivière. Reste à affiner la durée, la vitesse et la direction… Belles expériences !
Magnétiser l’eau : tenir un verre d’eau entre ses mains durant une minute afin de lui communiquer son énergie est une excellente approche… pour autant que l’on ait de l’énergie ! Tout le monde possède du magnétisme, mais plus rares sont ceux qui réussissent à se centrer suffisamment afin de pouvoir le transmettre correctement à la demande. Les praticiens en méditation, yoga ou qi gong seront avantagés.
Adresser une prière ou réciter un mantra à l’eau : La prière est l’une des énergies les plus puissantes mais il convient du coup d’être patient, sincère, humble, convaincu et centré ! « L’eau ne donne que si l’on participe », dit Jacques Collin. L’eau de Lourdes est-elle (parfois) « miraculeuse » parce que chargée de la prière des fidèles ou bien est-elle énergétiquement bénéfique au naturel, ce qui conduit à la prière ? Certainement les deux mais un « deux » émanant du « Un » : l’eau est le lien entre l’homme et son environnement. Cela vaut bien une petite prière… ou un remerciement !
Les techniques de vitalisation de l’eau immédiates, modification des paramètres physico-chimiques en prime !
Rajouter un complément à l’eau créée une nouvelle « solution aqueuse » dont les propriétés énergétiques peuvent être particulièrement intéressantes. Ce n’est pas de la dynamisation de l’eau proprement dite mais une petite vitalisation toujours bénéfique.
Ajouter quelques gouttes de sérum de Quinton : présent dans le dictionnaire Vidal jusqu’en 1975 (avec une trentaine d’indications), le sérum de Quinton est l’un des plus remarquables compléments alimentaires disponibles sur le marché ! Inventée par le savant naturaliste, physiologiste et biologiste français René Quinton (1866-1925), cette eau de mer (en partie désalinisée) est identique au plasma, proche du « milieu vital » dans lequel baignent les cellules avec tous les oligo-éléments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. L’eau de mer doit être prélevée dans des zones de vortex – oui, encore lui ! – et récolté selon un protocole strict. Son usage dans l’eau vise avant tout à la reminéralisation d’une eau distillée ou osmosée mais on pourra également l’envisager pour redonner à l’eau une petite touche de dynamisation marine…
Vitaliser grâce à un produit vivant (citron bio, vinaigre bio…) : le citron a notre préférence car il masque le mauvais goût éventuel de l’eau chlorée, rafraîchit la boisson, apporte des vitamines et des minéraux, aide à rendre les minéraux biodisponibles, facilite l’élimination des toxines et, avec un pH de 2,2, redonne à l’eau de l’énergie magnétique sous la forme de protons (ions H+). Cette acidité supplémentaire créera dans l’estomac un effet alcalin et facilitera la digestion. Si le citron est bio, il apportera également une bonne énergie naturelle ; dans le cas contraire, une information « pesticides » dont l’eau se passerait bien. D’autres agrumes, fruits ou légumes sont possibles mais leur intérêt est alors tributaire de leur acidité et mode de production. Quant aux graines germées, elles requièrent déjà de l’eau dynamisée pour mieux pousser et gagner en saveur.
Les techniques de dynamisation liées au récipient et aux ondes de formes :
Toute substance en contact avec l’eau modifie la structure de l’eau et il en va de même pour les symboles ou ondes de formes émises par les objets environnants.
Placer l’eau dans un pichet ou une jarre en argile : la qualité énergétique du récipient impacte l’énergie de l’eau. Céramiques et terres sont ce qui se fait de plus traditionnel pour l’eau, tout en la maintenant au frais. Riche en silice et en minéraux, l’argile a aussi la réputation d’absorber les toxines.
Placer l’eau sous une pyramide : Le secret des pyramides reste à découvrir mais leur énergie subtile liée aux « ondes de forme » n’est plus à démontrer. Il est ainsi de notoriété publique qu’une pyramide est capable d’aiguiser les lames de rasoir, de recharger les batteries, de stimuler la croissance des plantes ou encore de mieux préserver les aliments. Placer sa tête – constituée à environ 80 % d’eau – sous une structure de pyramide (correctement bâtie et orientée vers les quatre points cardinaux) permet de constater un transfert énergétique immédiat : les yeux papillonnent sans contrôle possible durant plusieurs minutes (ce qui amuse toujours les observateurs présents) avant de se calmer. La dynamisation de l’eau via une pyramide ne prend également que quelques minutes et permet – comme tout système de dynamisation qui se respecte – d’obtenir une eau plus douce et agréable à boire.
Dessous ou dessus, de nombreuses variantes du principe de l’onde de forme existent : céramiques magnétiques, plateau en verre avec symbole de fleur de vie, pierres-supports vibratoires, briques… Reste à comparer ces différentes énergies.
Combiner les approches renforcera naturellement les effets. Mais ajouter citron et Quinton dans l’eau d’un récipient en argile bardé de mots positifs avant de transvaser celle-ci puis de la remuer à la baguette sous une pyramide exposée au soleil tout en récitant une prière avec de la musique classique en fond sonore sera aussi lourd que la phrase. Restons simples : le rituel de la dynamisation de l’eau doit rester un plaisir… sous peine d’être complètement contre-productif. De ce point de vue, les solutions technologiques ont l’avantage d’apporter (plus ou moins) facilement de l’énergie à l’eau… tout en préservant (normalement) la nôtre.
Les technologies de dynamisation de l’eau :
Un peu plus coûteuses mais beaucoup plus pratiques à l’usage et généralement aussi plus efficaces, voici les meilleures approches technologiques pour dynamiser l’eau sans stress et en quelques minutes – voire fraction de secondes – afin de la rendre biocompatible, pour autant qu’elle ait déjà été correctement filtrée. Rappelons en effet que dynamiser l’eau est la deuxième étape, après la filtration.
Les carafes ou gourdes dynamisantes :
Les carafes Nature’s Design sont à ma connaissance le plus bel objet pour conserver et sublimer l’eau. Combinant forme selon le nombre d’or et fleur de vie, l’eau est structurellement différente en quelques minutes, ce qui se révèle très pratique pour convaincre les sceptiques… Les carafes se déclinent en plusieurs formes et contenances. La version Delicate en 0,5 est, comme son nom l’indique, fragile ; la version 2,3 litres Family, trop lourde pour se servir facilement à boire. Demeure l’idéale 1,3 litre Alladin. À noter aussi une originale Cadus pour pierres semi-précieuses dans un réceptacle sans contact avec l’eau et, pour les spas, centres, hôtels ou entreprises, les spectaculaires versions en 5 ou 10 litres.
Il existe naturellement d’autres carafes dynamisantes sous différentes matières, tailles et formes : les céramiques dynamisantes Biocéram, la cruche « en céramique biocatalytique » Terre de Lys… À chaque fois, une différence probante devrait pouvoir s’apprécier en quelques minutes.
Côté gourdes, la bouteille i9 en verre, colorée de bandes de silicone, met de bonne humeur… et le moral est, comme chacun le sait, excellent pour la santé ! Au niveau de l’eau, elle impressionne avec une énergie perceptible en quelques minutes. Son secret réside dans l’étiquette Poznik, du nom de son inventeur slovène : ce mélange de symboles et de codes numériques à la sauce quantique est le fruit de plus de trente ans de recherches. Pour les explications, il faudra attendre encore un peu plus… Mais le résultat compte et il est à même de perturber les plus sceptiques. On emportera cette 650 ml partout et on ne passera pas inaperçu. Un excellent moyen d’engager enfin une conversation sur l’eau ?
Il existe quantité d’autres bouteilles dynamisantes mais la Vitbot en forme d’oeuf est celle qui s’inspire le plus de la nature. « Grâce à cette forme ovoïde, les liquides tournent naturellement en tourbillon (vitalisation) à l’intérieur des Vitbot, générant une dissolution uniforme des minéraux, des électrolytes, etc. présents dans les boissons », explique le fabricant. Cette 500 ml bleu cobalt se fait remarquer. Un autre moyen de prolonger la conversation sur l’eau ?
L'approche Schauberger : les dispositifs à vortex !
« Le mouvement de l’eau dans l’eau se comporte comme celui de l’air dans l’air », notait déjà Léonard de Vinci vers 1510… et ce mouvement est celui des tourbillons, spirales ou vortex ! « C’est dans le tourbillon et la spirale que l’on trouvera tous les secrets de l’organisation de la vie », dira bien plus tard Louis-Claude Vincent.
Observez le mouvement d’une rivière : vous y noterez des dizaines de vortex à la surface, en imaginerez des centaines en profondeur… Le moindre obstacle est propice au vortex et c’est grâce à eux que l’eau se réoxygène et se restructure, réussissant in fine à se débarrasser des polluants. Viktor Schauberger ou encore Theodor Schwenk ont passé leur vie à étudier leur spectaculaire énergie.
« Dans une eau correctement animée, nous avons affaire à un processus vivant jusque-là ignoré et jamais étudié. Une eau sans mouvement est une eau morte, finalement nocive pour la vie. Une eau vivante apporte la vie, une eau morte apporte la mort », écrit
Viktor Schauberger (1885-1958), garde forestier autrichien, naturaliste, philosophe et inventeur, figure incontournable de l’eau. Voir Quelle est la différence entre une eau vivante et une eau morte ?
L’eau est selon Schauberger « le sang de la terre » et « le support de toute vie ». L’eau placée dans un tuyau spiralé et vrillé se déplace ainsi plus rapidement que dans un tuyau rectiligne. Une énergie d’implosion est générée, au contraire de l’énergie d’explosion de la technologie moderne.
Tous les vortexeurs par contre ne se valent donc pas et se tromper de modèle peut coûter cher. Si l’idée est d’apporter de l’énergie, le vortex doit ainsi être de force "centripète", c’est-à-dire générer un mouvement implosif allant de la périphérie vers le centre : le rétrécissement entraîne une accélération de la vitesse de rotation et celle-ci est théoriquement infinie.
« La rotation créée par le vortex engendre une aspiration ou “énergie du vide” qui est une “implosion” générant un océan d’énergie. […] Ces forces d’implosion ont la capacité de purifier l’eau et de la dynamiser et revivifier », précise Richard Haas. Le taux en oxygène est également augmenté et la tension superficielle de l’eau baisse, favorisant l’hydratation cellulaire. L’eau est également plus fraîche.
Les vortex générés par centrifugeuse (rotation depuis le bas du réservoir), de forme rectiligne, génèrent au contraire un mouvement explosif « centrifuge » allant du centre vers la périphérie. Ils n’ont que peu d’intérêt sinon de disperser l’énergie… Beaucoup plus intéressant – mais plus rare et difficile à obtenir –, le vortex colonnaire, similaire à la trombe d’eau marine, reliant l’air et l’eau.
Certains s’attardent sur le sens du vortex, mais on retrouve globalement les deux sens dans la nature et cela dépend aussi de l’endroit d’où on l’observe, par au-dessus ou par en dessous. « La spirale est un mouvement fondamental inscrit dans la structure de l’univers […]. Dans l’air, l’eau et le sang, elle est le mouvement naturel de vie », explique le docteur en sciences physiques Alain Boudet.
La cruche à vortex est le complément idéal et « budget » de tout système de filtration sans dynamisation : carafe filtrante, filtre robinet, filtre évier, distillateur ou osmoseur. Trois minutes suffisent pour redonner de l’énergie à l’eau. Idem pour les eaux en bouteille qui auraient bien besoin d’un peu d’air et d’exercice ! À partir de l’eau brute du robinet, il convient d’augmenter la dose à sept minutes : l’eau est sensiblement améliorée et plus agréable à boire, mais le résultat « santé » demeure aléatoire et tributaire de la qualité de la filtration initiale.