Nous voyons fleurir tous les ans, avec le printemps, lors de la Journée Mondiale de l'Eau du 22 mars, toute une série de réflexions quantitatives sur l'eau et la nécessaire préservation de cette ressource vitale… Dont acte mais est-ce efficace ? Ne devrions-nous pas plutôt nous centrer sur sa qualité, en l'état assez désastreuse si chlorée, adoucie ou "emplastiquée" ? Retrouver le plaisir de boire ne serait-il pas l’essentiel d’une démarche écologique pour enfin respecter l'eau à sa juste valeur ?
En théorie, tout le monde aime l’eau. En pratique, on y préfère souvent autre chose. Qui arrive à boire avec plaisir son 1,5L d’eau plate et tempérée par jour ? Peu de citoyens car ni l’eau du robinet chlorée, ni les eaux en bouteille "emplastiquées" et trop minéralisées ne sont adaptées à un organisme dont les cellules sont constituées à plus de 99% de molécules d’eau.
Comment du coup véritablement respecter l’eau si je n’ai pas plaisir à la boire (d’où une déshydratation chronique), si elle m’irrite la peau (car très oxydée et oxydante comme par exemple l’eau de Genève) ou finit aux toilettes ? Comment apprécier l’eau si elle fait l’objet d’un business marketing intensif, gonfle les caisses de multinationales prédatrices ou recouvre les océans de plastique ? Comment considérer l’eau à sa juste valeur si elle est noyée dans les conflits d’intérêts et les arnaques en tous genres ?
« Nous sommes mal en point car nous maltraitons l’eau. Améliorons enfin sa qualité et nous irons tous beaucoup mieux. » (La qualité de l’eau, Ed. Médicis, 2020).
Il est aussi possible de prendre la réflexion à l’envers : l’eau est en péril parce que nous nous maltraitons et ne respectons plus les besoins vitaux de notre nature. Centrons-nous sur nos fondamentaux et notre écologie personnelle et nous dégagerons alors forcément les ressources pour retrouver le plaisir de boire une eau véritablement biocompatible. Le cercle est vicieux... ou vertueux !
Les médecins ne sont pas formés à la qualité de l’eau (le plus gros scandale de l'eau en Occident) et nous sommes en droit de nous demander pourquoi. Les scientifiques perdent leurs subventions ou leurs crédibilités lorsqu’ils s’intéressent de trop près – comme Jacques Benvéniste ou Luc Montagnier – à la complexité de l’eau et ceci devrait interroger. La Bioélectronique de Vincent (BEV) demeure tabou (mon article sur Wikipedia a été censuré en quelques semaines), en dépit du bon sens énergétique. Qui a donc intérêt à ce que l’eau reste H2O, aqua simplex ? Qui trouve un intérêt (économique) à ce que l’eau distribuée soit d’une aussi piètre "potabilité" avec des paramètres énergétiques (protons + électrons) désastreux ?
2023 et début 2024 ont été marqués par une série de scandales centrés - pour une fois - non plus sur la quantité mais sur la qualité de l'eau. Comment, il y aurait des micro ou nano polluants dans l'eau du robinet et dans les eaux en bouteille ? Quoi, une filtration serait nécessaire même pour certaines sources normalement préservées ? Eh oui, la pollution environnementales est omniprésente et plus l'on cherche (ou affine les mesures), plus on trouvera de polluants !
Mais à quoi cela servirait-il d'avoir de l'eau propre en amont (rappelons que l'eau pure n'existe que dans le marketing) si c'est pour y mettre des traitements chimiques en aval? Et si l'insistance sur les micropolluants ou les nanoparticules de plastique étaient les chiffons rouges pour éviter de parler des véritables scandales de l'eau? Le chlore oxydant pour l'eau du robinet, les minéraux inassimilables pour les eaux en bouteille, les adoucisseurs à sodium pour les solutions maison, les eaux alcalines côté eaux thérapeutiques,... Il serait grand temps que les journalistes fassent leur travail !
Les messages de l’écologie politique sont, vis-à-vis de l'eau, globalement contre-productifs voire caricaturaux, à l'exemple des Verts genevois. Les Régies évitent de répondre voire, dans le cas de la Régie Genevoise, ne veulent surtout pas savoir. Le Maire de Genève, drapé dans une posture écologique dogmatique, ne remercie même pas lorsqu'on lui adresse un livre sur le sujet !
La véritable écologie n’est pourtant pas dans les économies d’énergie du système mais dans la préservation de notre propre énergie. Prendre un bain est ainsi une excellente idée si cela me permet de me détendre et de réfléchir (à comment améliorer mon eau). L'eau du réseau, chlorée et totalement dévitalisée, c'est-à-dire oxydée et alcaline, ne peut être qualifiée d'écologique que via une imposture de sens ! Commençons par retrouver le sens des mots et évitons ainsi les manipulations !
Nous avons la chance de bénéficier d’une eau potable sur tous nos robinets. Filtrons-la afin d’en retirer le chlore (et une partie des résidus de médicaments, de pesticides ou de PFAS) puis redonnons-lui de l’énergie afin de lui faire retrouver les caractéristiques vibratoires (tout est vibration !) d’une eau de source au naturel : douce et hydratante, enfin agréable à boire, véritablement biocompatible !
Alors je pourrai remercier l’eau à chaque verre. Alors je ne serai plus tributaire des cosmétiques chimiques pour l’hydratation de ma peau. Alors je n’aurai plus besoin des bouteilles en plastique !
Voilà quels devraient être les messages de nos politiques lors de cette Journée Mondiale de l'Eau s’ils avaient vraiment à cœur la santé et la vitalité des citoyens. L'eau n'est pas un bien de CONsommation mais le meilleur moyen pour nous reconnecter à notre nature propre. L'eau devrait être source d'inspiration mais c'est également et avant tout une formidable source d'énergie ! Aqua et homo complex...
Pour en savoir plus sur le respect et la qualité de l'eau :
Article de base pour éviter les arnaques de l'eau.
Les 3 problématiques et solutions Eau : www.solutionsbio.ch/eau Vidéo Conférence-Tutoriel : La vraie qualité de l’eau (21’58) Le portail de référence sur l’eau : www.lemieuxetre.ch/eau La Fiche pdf : L’eau et la vie Mon livre La qualité de l’eau (Ed. Médicis, 2020)
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